Jambon cru

JAMBON CRU – VERTUS

Dans le cochon, tout est bon, et particulièrement le jambon!

Le contenu en sel du jambon est généralement élevé entre 1 000 et 1 500 mg de sodium au 100 g, de sorte qu’on recommande de le consommer en quantité modérée, surtout aux personnes qui doivent restreindre leur apport en sodium.

Le jambon cru ou sec est plus gras et plus calorique que le jambon cuit nommé jambon blanc en Europe.

Ne consommer que le maigre aide à réduire l’ingestion de matières grasses et de calories. Sauf, pour le porc noir gascon qui possède des graisses aux qualités nutritives exceptionnelles.

Certains sportifs comme Marion Jones font des cures de jambon cru avant une grande compétition pour donner de la tonicité à leurs muscles.

JAMBON CRU – HISTOIRE

Le jambon, roi de nos sandwichs d’aujourd’hui, était autrefois un mets d’empereurs. Viande de porc, de sanglier ou d’ours salée et souvent fumée et séchée, le jambon fut pendant longtemps un mets royal ou réservé aux occasions spéciales. Très estimé sous l’Empire romain, il ne figurait que sur les tables des empereurs. Au Moyen Âge, où l’on était grand consommateur de porc, le jambon était associé aux fêtes de la Semaine sainte. Le véritable jambon provient de la fesse de porc.

JAMBON CRU – CUISINE TRADITIONNELLE

Comme un grand vin, un grand jambon doit être servi chambré à température ambiante pour révéler tous les trésors de ses arômes. La meilleure façon de déguster le Noir de Bigorre est de le partager entre amis, en toute convivialité, en toute simplicité.

Installez-le sur une griffe à jambon et, à l’aide d’un couteau bien aiguisé, découpez-le en fines tranches. Vous aurez eu soin au préalable de vous procurer un très bon pain de campagne. Marier votre Noir de Bigorre avec un vin blanc sec exaltera toutes ses qualités. Mais vous pouvez aussi, plus traditionnellement, l’accompagner d’un vin rouge et pourquoi pas d’un champagne !

2 réponses sur “Jambon cru”

  1. Quand le Jambon est bien fait au départ, le maigre mais aussi le gras tout est bon à déguster. J’avais un beau-Frère Landais en chalosse qui en faisait un dont la bouchée fondais dans la bouche, une merveille. Nous dégustions ça après la soupe et son Chabrot puis venait le jambon suivi de près par le foie gras confit à la graisse de canards gras, puis venait un gibier, puis la viande souvent du veau ou une belle entrecôte arrosé de vin de bourgogne comme un beau Santenay ou d’un beau Gevrey-Chambertin de ma cave perso.

    1. Bonjour,
      Merci pour ce témoignage sur nos terroirs et traditions comme nous les aimons, voilà qui va enchanter notre Chef Pierre Marchesseau.
      Bonne journée à vous

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