Rencontre dangereuse ………………………………Episode 27

Saucisse :

– « Des ours bruns, ça va pas, pourquoi pas des loups s’exclame t’il !!! »

A mesure qu’ils avancent, ils les voient mieux. Une maman et ses oursons sont effectivement en promenade. Tapioca prend son appareil photo et les fixe sur la pellicule pour l’éternité.

La maman est grosse, elle a un pelage brun et tire une langue toute rose. Elle doit avoir soif. Elle surveille bien ses petits. Dès qu’ils s’éloignent un peu, elle va les chercher et les ramène autour d’elle . Le male n’est pas là,

Umaguma:

– ” c’est ce qui m’inquiète, il doit être à la chasse. Il faudra se méfier sur le chemin du retour, on ne sait jamais dit Umaguma au docteur.

Les oursons s’en donnent à coeur joie, et courent dans tous les sens. cabriolent, coursent, jeux ponctuent leur liesse de bébés en liberté. Ils crient, grognent,r ronronnent en allant vers un coin de la rivière, facile d’accès par une petite plage de sable. De bon coeur et de bonne humeur ils se jètent dans l’eau fraîche pour s’y rafraîchir. La mère fait de même.

Au bout d’une quinzaine de minutes de jeux incessants la mère sort de l’eau et les oursons font de même. Arrivé sur le pré, ils s’ébrouent et secouent leurs amples pelages comme le fond si bien les chiens quand ils sont mouillés. Un geyser est expulsé de leurs poils et retombent en fines gouttelettes sur le sol.Les oursons reprennent leurs jeux turbulents pendant que leur mère assise dans l’herbe se laisse sécher par les rayons du soleil.

De temps en temps ils retournent se fraîchir à la rivière. Au bout de longues minutes la Mère, et se redresse sur ses pattes inférieure, elle est immense debout…Elle donne le signale et ils s’en vont comme ils sont venu en troupe joyeuse de s’être bien amusés. Ils pénètrent dans les sous-bois et se fondent peu à peu dans la couleur des sous bois.

Umaguma fait signe au docteur qu’il est temps de rentrer. Ils se retirent en silence, et repartent comme ils sont venus. Au retour, ils font très attention aux rencontres indésirables. Mais tout se passe bien, ils reviennent sans encombre vers leur camp.

Dès le sommet de la colline dépassé, le danger est écarté et les petits Umagums détalent la pente, Pierrot et sa bande les suivent en courant pour regagner le campement. Ils font la course à travers les rochers. Les 500 mètres sont parcourus en quelques minutes, mais à ce jeu là, les 5 petits Umagums sont déjà arrivés, que Pierrot et les siens en sont encore à mi-parcours. Ils ne sont pas de taille à lutter avec eux en vitesse pure.

Quand ils arrivent enfin, leurs petits copains les attendent sur le haut d’un rocher, la sagaie à la main et font semblant de les embrocher. Ils sont fiers d’avoir gagné la course..

Tapioca met sa main dans celle de Pierrot. Il lui serre comme nous le faisons pour dire bonjour à quelqu’un. Elle secoue son bras plusieurs fois. Le geste amuse bec d’anguille qui le fait avec la Goulue, puis avec Pierrot. . Amusé, il serre sans cesse la main de Pierrot. Il ne s’arrête plus. Les autres ne voulant pas être en reste, serrent à leur tour la main de leurs petits camarades et tout le monde rit de toutes leurs forces de ce nouveau jeu.

C’est dans cette ambiance qu’Umaguma, Melchior et Uma les trouve, c’est un climat de franche rigolade. On dirait qu’ils se connaissent depuis toujours.

A leur vue , ils se précipitent sur eux et recommencent leur jeu dans un état d’excitation joyeuse, et d’éclats de rire général. Mais la soirée s’avance, Uma doit préparer à dîner pour tout le monde.

Elle quitte le groupe pour s’enfermer dans la caverne. Elle avance à petits pas, jusqu’au fond pour aller chercher du bois sec et raviver le feu. Elle prend un bûche, se retourne et ….aperçoit devant elle, une énorme bête toute poilue, debout au fond de la caverne qui avance vers elle en grognant.

Elle pousse un grand cri, laisse tomber sa bûche en reculant jusqu’à la sortie le plus vite possible.

La bête s’avance, mais elle ne voit pas encore Uma, elle la sent, il fait trop sombre, mais elle est menaçante battant l’air avec ses pattes avant.

A son cri tout le monde se retourne, Umaguma se précipite à l’intérieur mais à peine a-t-il fait quelques pas qu’il aperçoit Uma sortant à reculons, avec derrière elle un ours énorme qui s’avance en geignant et gesticulant.

Son corps déployé au-dessus de ses pattes arrières avoisine les trois mètres de hauteur. C’est un ours brun en quête de nourriture. Il s’est fait surprendre dans la caverne.

Il a certainement aussi peur qu’eux. Tout le monde est là immobile devant ce spectacle et retient son souffle. Si l’ours donne le moindre coup de pattes en avant il va déchiqueter la pauvre Uma avec ses griffes noires toutes ressorties.

Le Docteur Melchior est à 10 pas, impuissant. Il pressant le danger. L’ours n’est pas un animal méchant, il n’attaque pas l’homme, sauf pour se défendre ou quand il a faim. C’est justement le cas . Là, il peut se révéler un véritable adversaire, rusé, puissant et incontrôlable c’est risqué.

L’ours s’avance toujours vers Uma, il est à un mètre à peine d’elle. Il va la lasserer au moindre coup de patte. Il doit penser qu’elle lui barre le passage. Sans plus réfléchir, le Docteur Melchior saisit son pistolet, l’arme et vise l’œil et tire.

La tête de l’ours explose dans la même seconde que la détonation, le sang gicle , ses pattes se dérobent sous lui, il n’a rien du comprendre, rien sentir. Le coup de feu a éclaté comme un coup sec et l’écho le ramène quelques secondes plus tard porté par l’air tiède de la nuit tombante.

L’ours s’effondre en silence, mort. La balle a fait mouche du premier coup. Heureusement, une simple blessure aurait pu avoir de graves conséquences. Uma se laisse tomber sur les genoux, elle n’y comprend plus rien, elle a entendu comme un claquement sec comme un coup de tonnerre et la bête s’est affaissée devant elle.

La surprise passée, Umaguma est venu relever Uma, il est heureux car elle n’a rien. Les enfants s’approchent de l’ours mort, pas trop prês, mais ils ne sont pas fous, ils voient le sang couler de son oreille et de sa bouche.

Tapioca

– « Ce n’était pas la peine d’aller les chercher aussi loin. Il fallait les attendre ici. Maix clic, clic elle en profite pour faire quelques photos.

Umaguma explique au Docteur Melchior que d’habitude, il met toujours des filets, quand il quitte le camp. Aujourd’hui il a oublié. Cette erreur aurait pu être tragique.

Dorénavant, il s’en souviendra. Il dit au docteur…

– « Ce doit être le mâle du couple de cet après-midi. Il est parti chasser, il savait la caverne habitée, il pensait y trouver de la nourriture. Il a été attiré par les odeurs de cuisine, il n’a vu personne, et s’est installé. Note retour l’a surpris. Il s’est trouvé pris au piège. Il voulait fuir, mais il y avait trop de monde. Il a pris peur et devenait méchant. »

Mais une chose travaille Umaguma. Comment le Docteur, par qu’elle magie étant à dix pas au moins il a abattu l’ours.

Umaguma pensif:

– « Mais comment Le Docteur Melchior a t-il fait pour tuer l’animal qui était à six pas se demande t’il? Il a seulement aperçu de la fumée qui a traversé l’entrée de la caverne en laissant derrière lui une odeur de brûlée. Troublés les Umagums, ne posent aucune question au Docteur Melchior qu’ils prennent pour un Dieu sorcier possédant des pouvoirs magiques et bien réels.

Ils se mettent tous autour de l’ours et le traînent dans un coin de la clairière. Il faut le dépecer, récupérer la peau. Elle fera des heureux cet hiver. Ils auront de la viande pour plusieurs jours . Avec ces nouvelles bouches à nourrir, c’est une très bonne chose, Umaguma n’aura pas à aller chasser demain. Le couteau de Pierrot, celui du docteur et le canif de Saucisse font merveille. Bec d’anguille et Umaguma ont appris depuis à s’en servir.

La bête est dépecée, découpée, la viande est rangée. En moins de deux heures tout est terminé. « Il est près de neuf heures du soir, dit le Docteur melchior en regardant sa montre et nous n’avons pas encore dîné. Quelle journée !!! »

Mais le docteur a l’’air triste. Il a abattu l’ours, C’’était certes nécessaire, mais maintenant une maman et ses cinq petits cherchent leur père et mari. Ils ne le reverront jamais. Quel gâchis.

Les autres dans la caverne voient les choses différemment.

Pendant qu’Umaguma et les enfants rangent la viande, Uma prépare des grillades. Elle les fait cuire sur des pierres chaudes. Une bonne odeur de viande grillée flotte dans la caverne.

Tous sont fatigués, le repas est ingurgité rapidement et ils vont tous se coucher. Gagnés par le sommeil, ils s’endorment tous profondément .

Seul le docteur n’arrive pas à trouver le sommeil. Il est angoissé, il repense à son geste. Que pouvait-il faire ? Le coup de feu résonne encore dans sa tête. Il n’est pas revenu et remonté le temps pour changer le cours de l’histoire. Il n’a pas le droit de tuer, même un animal.

La magie de la mort de l’ours a impressionné leurs hôtes. Ils ont eu peur de l’ours mais également ont été surpris par la puissance divine du Docteur Melchior, mais n’ont pas osé lui en parler. Tuer un ours à 10 pas de lui, n’est pas une chose commune dans ce monde préhistorique et seul un sorcier, possédant la puissance divine, peut le faire. C’est ce que se disent de leur côté Umaguma et les siens en pensant au Docteur Melchior et ses cinq naufragés du ciel.

de son côté le Docteur Melchior se promet de tout expliquer à Umaguma demain. Ne pouvant trouver le soleil, il ouvre son sac retire des bouteilles, un rouleau de papier, des ciseaux, des épingles à linge et met ses lunettes de nuit qui lui permettent de voir dans le noir. Il va chercher plusieurs bols qu’il remplit de liquide venant de ses bouteilles. Il sort d’une poche de son sac, la dernière pellicule de Tapioca et entreprend de la développer. Ils auront tous une sacré surprise le lendemain.

En fait il développe sa dernière pellicule. après les avoir découper image par image, il les place dans un bol ou est contenu le liquide révélateur, puis il les saisit dans avec une pince pour les placer dans le fixateur. Il contrôle chaque photo et semble satisfait du résultat. pendant le bain des photos, il sort une cordelette qu’il attache entre deux pierre au-dessus de sa litière.

Puis il retire chaque photo de son bain et les accroche au fil avec une pince à linge pour les faire sécher. Il range tout, récupère le liquide des bols qu’il lave avec précautions et les repose sur une pierre. Fatigué par sa journée harassante il s’allonge sur sa couche et s’endort cette fois rapidement en pensant que beaucoup seront surpris demain en voyant les photos.

Le lendemain matin, Uma se lève de bonne heure, dès la levée du jour. Elle sort de sa grotte pour vérifier la cuisson de ces bols. La braise s’est consumée, la cendre est presque froide. Avec une feuille de caoutchouc, elle les époussète. Elle souffle dessus avec sa bouche. Les cendres s’envolent. Elle admire son travail en véritable artiste qu’elle est.

Les six bols sont là, enserrés dans la glaise. Avec un morceau de bois effilé, elle découpe la terre autour et les ressort un à un. Puis avec sa main et ses doigts, elle les lisse pour affiner l’ extérieur. Elle les regarde dans tous les sens pour inspecter une dernière fois son travail.

Avec précaution, elle les range les uns dans les autres et les ramène sous son bras dans la caverne. Devant chacune des places des enfants de Melchior comme elle les considère, elle pose un bol, pour que chacun ait le sien en se réveillant.

Dès qu’ils sont levés, les enfants sont surpris d ’avoir dormi si longtemps, c ’est vrai, la journée d’hier fut forte en émotion et on aurait été fatigué à moins. Saucisse apparaît en se frottant les yeux, les cheveux en bataille et la trace des feuilles imprégnées sur sa joue résultat d’une mauvaise position en dormant. Les autres suivent à quelques minutes d’intervalle. Pierrot cherche ses chaussures, Tapioca ses habits. Chacun déambule comme un automate en attendant d’être complètement réveillé.

Le Docteur Melchior rentre dans la caverne après une petite marche matinale jusqu’au bord de la rivière pour s’ébrouer :

– « Eh bien , dit il, réveillez-vous. » Ils ont du bien récupérer se dit Le Docteur, à cet âge, la fatigue n’a pas de prise sur l’organisme. »

Gros Lard et Tapioca:

– « Nous sommes fatigués, nous avons mal aux jambes. » disent gros lard et Tapioca, avec une voix enrouée, presque coincée.

Le Docteur Melchior:

– ” vous avez pourtant perdu la course…” fit t’il d’un air moqueur

Gros lard:

– ” D’accord mais ils sont sur leur terrain…”

Le Docteur, Melchior:

– Même la petite est arrivée avant Pierrot…”

Tapioca:

– ” oui mais elle n’avait pas de sagaie…”

Le Docteur sortant de sa poche les photos qu’il a développées hier soir les poses sur la pierre en disant:

– ” Regardez ça , c’est plus intéressant:

Tapioca et gros lard regarde les photo en s’écriant:

– ” Oh merci Docteur, Merci Docteur…Pierrot, Saucisse, Gros Sel venez voir…”

Alertés par les cris, c’est toute la famille qui rapplique et regarde les photos prises par Tapioca.

Le Docteur explique aux Umagums médusés que ce sont les clics fait par la boîte noire de Tapioca qui permettent de faire des photos. Mais personne ne comprend comment a t’elle fait pour qu’ils se retrouvent tous seuls ou en famille sur une petite feuille eux qui sont quand même d’une certaine taille même s’ils sont tous plus petits que nos naufragés du ciel.

Mais ils sont heureux de se voir comme quand ils se regardent dans l’eau , c’est magique pour eux et se montre les uns aux autres en poussant des cris de joie et d’exclamation, mais quand ils voient les photos des oursins jouant dans l’eau ou dans le pré, ils sont au paroxysme de leur excitation et n’arrivent pas à saisir comment à la fait pour les emprisonner à distance dans sa feuille.Même Umaguma est médusé, car il savait le Docteur Sorcier, mais voilà que la petite s’y met aussi.

Le Docteur, fait assoir tout ce petit monde et explique détail par détail ce qu’est la photographie, comment ça marche etc…Chacun l’écoute avec respect conscient de vivre quelque chose extraordinaire. Le Docteur Melchior prend une photo de tous ensemble et explique que ce soir, quand il fera lui il en fera le développement devant eux pour qu’ils comprennent. Chacun a hâte d’être arrivé à la nuit pour comprendre et découvrir ce miracle.

Uma les observe tous du coin de l oe’œil, Umaguma a travaillé à l’ extérieur, aidé par ses enfants, depuis le lever du jour.

Le Docteur Melchior est assis, il vérifie maintenant ses calculs avec son ordinateur:

– ” Vous savez, dit il il est presque midi, c ’est l ’heure de se mettre à table. Chevaliers, l’avenir appartient qu’à ceux qui se lèvent tôt.

Pierrot :

– « A la maison, ma mère me réveille quand mon père part voir ses vaches, et j’entend toujours le réveil. A sept heures, l’usine sonne, nous savons toujours l’heure qu’il est . »

Gros Sel y va de son petit mot :

– « Vous oubliez le carillon de Monsieur le Curé qui sonne tous les quarts d’heure même la nuit. Ici, c’est le silence total. »

Saucisse :

– « J’ai faim, dit t’il. »

Le Docteur Melchior :

– « Le contraire me surprendrait. ».

Uma apporte sur la table , une belle corbeille de fruits frais qu’elle est allée cueillir pour les enfants.

Tapioca s’approche du panier, prend un fruit et va s’asseoir près de sa pierre . Elle regarde autour d’elle et s’arrête surprise :

– « Regardez ! dit-elle. »

Les enfants ensemble :

– « Quoi ? « .

Tapioca :

– « Regardez le travail d’Uléma, les bols, comme c’est gentil, ils sont pour nous ? demande t-elle ? Oh ! Qu’ils sont bien réussis. »

Chacun se précipite, ils ont enfin compris qu’ils sont pour eux, ils ont chacun le leur. Uma les leur a offert avec gratitude. Ils regardent le bol dans tous les sens et n’en reviennent pas. La peinture en moins, ils sont la réplique parfaite de ceux dans lesquels leur maman leur sert le petit déjeuner chaque matin.

Tapioca se lève, s’approche d’Uma et l’embrasse sur les deux joues. Celle-ci se retire apeurée. Les enfants rient.

Le docteur Melchior explique à Uma que c’est une coutume de chez nous pour remercier les amis quand on est heureux. Elle comprend et se laisse cette fois embrasser sur les deux joues par les cinq garnements.

Toute fière, elle veut elle aussi dire qu’elle est heureuse et elle se jette au cou du Docteur Melchior et l’embrasse. Il devient rouge de confusion et ne sait plus comment s’en dépêtrer. Les enfants éclatent de rire.

Leurs fruits dans les mains ou dans la bouche, ils sortent dire bonjour à tout le monde.

Le Docteur Melchior :

– Je vous emmène à la source pour prendre un bain et vous laver, vous devez en avoir besoin , dit le docteur.

Accompagné par Umaguma, Uma et tous les enfants, la grande famille descend en s’amusant comme des fous vers la source. A la vitesse où ils vont, ils y arrivent en quelques minutes. Ils se déshabillent et prennent un bon bain. Quand les enfants d ’Umaguma découvrent le savon ils s’amusent de le voir glisser entre leurs doigts, de la mousse et de la bonne odeur qu’il dégage.

Tapioca leur apprend à se laver les cheveux. Ce ne sont que cris, ils s’arrosent copieusement. Seule la Peste ne veut pas être nettoyée. Tapioca et la Goulue la prennent par les pieds et les mains et la jettent au milieu de l’eau. Toute trempée, elle crie, elle pleure mais elle ne trouve pas ça désagréable du tout.

Umaguma et le Docteur Melchior arrivent en pleine guerre d ’arrosage. Les enfants s’attrapent, se poussent, tombent, s’interpellent, sautent dans l’eau à pieds joints à partir de roches surplombant la rivière. Les plus grands plongent et s’enfoncent dans l’eau comme des poissons.

Mais l ’heure tourne, le docteur les fait sortir du bain. Ils se sèchent et regagnent leur camp. Il est l’heure de passer à table et de se sustenter allègrement.

Chaque jour leur apporte leur lot de surprises et de découvertes. Quelle belle histoire ils vivent. Le Docteur Melchior n’est pas déçu. Leur aventure leur aura appris beaucoup de choses et ils ne seront pas prêts de l’ oublier. C’était peut être ça la mission qui lui a été confiée par Dieu.

A la fin du repas, Uma range un peu la caverne,la Goulue, la Peste et Tapioca l aident. Bec d ’anguille, Feuille de chou et Moule à Gaufre partent avec leur père pour travailler.

Pierrot demande au Docteur Melchior de bien leur expliquer la période dans laquelle ils sont. Il les emmène dans un coin, devant la grotte et s ’assoit par terre. Les enfants l’imitent, Tapioca vient les rejoindre, son travail terminé. Il est 14 heures, le soleil est haut dans le ciel et le Docteur melchior commence une bien belle histoire :

Celle de la naissance des hommes!!! .

A suivre …28 ième épisode…..

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