Graine Alma

Graine de tournesol

Les petites graines du Soleil veillent sur votre corps cet hiver…

Gorgées de phosphore, de manganèse, de cuivre, de fer, de vitamines B5, E, B6, de zinc et de
magnésium…

Elles sont pleines de vitamines et de minéraux, source d’acide gras essentiel et de phytostérols.

Que les addicts se rassurent, non seulement elles se croquent mais elles se cuisinent et se tartinent !

Huile de graines de tournesols grillées

Cette huile est obtenue par pressage à froid des graines de tournesol. Elle contient un niveau élevé de vitamine E et d’acide phénolique qui est une puissante source de minéraux, d’antioxydants, de potassium et de phosphore.

On l’utilise pour assaisonner salades, crudités et légumes vapeur mais elle ne doit pas être chauffée.

Purée de graines de tournesol grillées

Fabriquée à partir de graines de tournesol biologique, cette purée savoureuse peut être utilisée comme une alternative saine à la margarine ou au beurre d’arachide.

Elle est riche en protéines, minéraux et acides gras non saturés, sans gluten, adaptée aux
végétaliens.

Nos produits sont déjà à la table de grands chefs et en vente….

“Graines d’Alma décroche déjà une étoile en intégrant la carte d’hiver de l’Auberge Basque brillamment tenue par Cédric Bechade, jeune chef étoilé en 2009 par le guide Michelin”.

L’Auberge Basque –
Hôtel Pays Basque et Restaurant Pays Basque … http://www.aubergebasque.com

Magasin- Super marché
bio : Bio Moi 35 rue Debelleyme, 75003 Paris, tél : 01 42 78 03 26

Épicerie fine en ligne
: Chez Régal et Sens – www.regal-et-sens.com

Chez bienmanger.com –
bienmanger.com

Boulangerie Traiteur :
La petite Chocolatière – Rue des entrepreneurs Paris 75015

Le Marché Bio :
Épicerie Ebe Young sur le marché Fortville 06400 Cannes

Épicerie Fine :
Épicerie Pavillon – 4 bis rue des Belges 06400 Cannes tél : 04 92 98 09 69

Restaurant Bio:
Affinithé – 8, rue Adam Ledoux 92400 Courbevoie tél : 01 41 16 09 01

Contact :
daniellaanush@grainesdalma.com
www. Grainesdalma.com

Salade fraîcheur Graines d’Alma pour ceux qui veulent avoir et garder la ligne

Garder la forme même au bureau

Trois conseils pour retrouver et entretenir sa forme au bureau.

Impossible de rester concentré indéfiniment : après une heure de bureau, les performances chutent. Sans compter que maintenir durablement une même posture empêche la bonne vascularisation des tissus : alors si en plus, ce sont toujours les mêmes muscles qui sont sollicités ou inutilisés…
Mieux vaut prendre 5 minutes de pause pour corriger le tir. Et pourquoi ne pas en profiter pour faire un peu de gymnastique dans la foulée ? Quelques exercices de bureau qui feront du bien à l’organisme, et lui permettront de gagner en force et en souplesse.

Faire quelques exercices physique au bureau

Voici quelques exercices simples qui permettent de se maintenir en forme au boulot, lorsque vous avez 5 minutes. À vous de définir, selon votre forme, le nombre de répétitions pour chaque exercice.

La posture droite.

Pensez à corriger systématiquement votre posture. Au besoin, réglez chaise et écran pour
garder la bonne position : le dos bien droit, calé contre la chaise ; les pieds à plat au sol ; les
jambes qui forment un angle à 90° au niveau des genoux ; les avants-bras posés sur le
bureau ;

La tête droite et le regard fixé droit devant vous.
Ainsi, vous respirerez mieux, vous éviterez les problèmes de mal de dos et vous serez plus
résistant à la fatigue. Tenir cette position en permanence travaille le gainage : dès que vous
observez un relâchement, imaginez un fil invisible fixé sur le sommet du crâne et tirez dessus
pour vous relever.

Les mollets.

Debout, pieds à plats, monter et descendre doucement sur la pointe des pieds.
Garder le corps droit et expirer en montant. Ce sont les muscles antérieurs du mollet qui
doivent travailler. N’essayez pas d’enchaîner les répétitions à toute vitesse : prenez le temps
de bien sentir le travail du muscle.

Les cuisses.

Assis, pieds à plat, serrer les genoux et maintenir la contraction pendant 10s. Puis
poser les mains sur l’extérieur des genoux et écarter les jambes en bloquant ce mouvement
avec les mains. Maintenir 10 secondes.

Les jambes.

Tendre une jambe parallèle au sol, en gardant le dos droit, les pieds à 90° avec la jambe
levée et la cuisse légèrement soulevée par rapport à la chaise. Maintenir 10 secondes.

Les fesses

Contractez les fesses. Les deux en même temps puis alternativement. Là encore, maintenir 10
secondes.

La taille.

Assis, les pieds à plat, les mains derrière la nuque et le dos bien droit. Contracter les muscles
des abdominaux et maintenir la position pendant 10 secondes.

Les abdominaux obliques.

Assis, les pieds à plat et les mains derrière la nuque. Soulever le genou droit, tourner le buste
de ce côté et toucher le genou droit avec le coude gauche. Maintenir 10s. Recommencer avec
le genou gauche et le coude droit (j’avoue que c’est le mouvement le moins discret…

Savoir déstresser, décompresser et retrouver sa concentration au travail

Première chose à faire : Repérer les moments de crispations.

Après un coup de sang ou un coup de stress. Avant un rendez-vous ou une démarche qui sort de la routine. Quand la dernière pause remonte à loin. Apprenez à discerner ces moments où les orteils, les doigts et les muscles sont crispés. C’est d’autant plus difficile lorsque l’on est concentré sur ce qu’on fait et qu’on ne fait pas attention à son environnement.

Exercice de visualisation :

Posture droite (pieds plats au sol, jambes à 90°). Prendre trois minutes de pause et penser à
des choses agréables : se rappeler des souvenirs plaisants, imaginer une situation qui
évoque une sensation de plaisir ou encore anticiper un évènement joyeux. Le simple fait de
visualiser un élément positif modifie notre rythme de pensée et notre humeur du moment.

Sourire.

Posture droite, grimacer jusqu’à obtenir un sourire et maintenir “l’effort” pendant plusieurs
minutes. Le conseil parait stupide : nous avons tous trop entendu la rengaine “Don’t worry, be
happy”. À un point tel qu’on considère ce conseil comme un cliché infondé. Mais il a été
scientifiquement prouvé que le cerveau ne fait pas la différence entre le “vrai” sourire et le
simulacre : si vous souriez, le cerveau considère que vous êtes heureux et agitt en
conséquence. Votre corps se met au repos et quitte l’état de tensions.

Petit exercice de méditation

Il relève de la “saine concentration”: Posture droite. Respirer de plus en plus profondément.
Fermer les yeux. Visualiser l’air qui sort des poumons comme étant un air vicié dont on se
débarrasse. Et imaginer l’air qui rentre comme frais, pur et riche en énergie. Le fait de se
concentrer sur une action physiologique permet d’en faciliter le déroulement et d’en décupler
les effets bénéfiques. C’est le même principe que le fait de se concentrer lorsque l’on mange :
on digère mieux, on mange moins et on se sent mieux nourri.

Aménager des pauses :

Le cerveau est comme un condensateur. Après un certain temps, il se vide. Vous pouvez
continuer et le forcer, mais vous serez bien moins productif. Faire une pause (même très
courte permet de récharger ce condensateur.

Ce qu’il faut :

– Arrêter clairement ce qu’on fait (faire passer le message au cerveau que “Le travail est fini”).
– Bouger (faire se mouvoir au minimum : les jambes, le torse, les épaules et les bras).
– Renouveler l’air de ses poumons : respirer et, si possible, changer de pièce.
– Faire plusieurs courtes pauses plutôt qu’une seule longue (10 à 15 min de pause par heure en cas d’activité intense ou 15 min toutes les deux heures en cas d’activité normale)

·

Les bâillements.

Le simple réflexe de bâiller apporte de l’oxygène au cerveau, permet de s’étirer et recharge
et l’énergie. Faites tout de même attention en open-space : c’est très contagieux.

S’étirer pour gagner en efficacité

Car il suffit de quelques exercices d’assouplissement pour chasser la fatigue corporelle (due au maintien prolongé d’une posture donnée) et “secouer” l’esprit. Petit rappel : les étirements ne sont efficaces que lorsqu’ils sont réalisés doucement et, pour certains exercices, lorsque le mouvement est maintenu au moins 10s.

· Les épaules :
Faire basculer la tête à droite puis à gauche, lentement : le but n’est pas de se faire mal, mais
d’aller de plus en plus loin, jusqu’à pouvoir poser l’oreille conte l’épaule. Un autre exercice
consiste à tourner la tête à gauche (comme pour placer le menton au-dessus de l’épaule) et à
maintenir cette position pendant 10s. Faire de même avec l’épaule droite. Enfin, baisser le
menton vers la poitrine pendant 10s. Faire le mouvement inverse, en penchant la tête vers
l’arrière, pendant 10 autres secondes.

· Assouplissement du dos :
Régulièrement pendant la journée, en position assise, incliner le
buste (tête et dos) vers l’arrière en levant les bras en l’air. Puis tendre les paumes vers le haut
et s’étirer en s’imaginant en train de grandir depuis la taille.

·Le buste :
Debout, le bras droit levé, pencher lentement le buste vers la gauche jusqu’à ce
que le bras droit passe au-dessus de la tête. Reproduire le même mouvement avec le bras
gauche.
Toujours debout, placer les mains croisées sur la poitrine et tourner lentement à gauche (maintenir 6s) puis à droite.

· Les muscles du cou :
assis, pliez lentement le buste en avant jusqu’à poser la tête sur les genoux. Relâcher les bras
jusqu’à ce que les mains touchent le sol. Remonter doucement en position initiale. Répéter ce
mouvement plusieurs fois. Autre possibilité : assis, sans lever le menton, tirer la tête vers
l’arrière. Maintenir la position 10 secondes.

·La respiration :
assis, le dos droit, placer une main sur le ventre et inspirer par le nez pendant 5s. Bloquer la
respiration pendant 5s. Expirer le plus lentement possible en contractant les abdos. Exercice à
répéter au moins 3 fois. (L’exercice idéal avant de se coucher ou au moment de se lever)

· Les mains et les avant-bras :
Main ouverte, fermer le poing en conservant le pouce tendu. Laisser glisser les doigts restant
sur la paume jusqu’à la base des doigts. Cet exercice permet de détendre la main. Pour étirer
les doigts, placer les avant-bras sur le bureau, paumes vers soi, puis refermer un à un les
doigts sur la paume, en commençant par les petits doigts. Puis réouvrir les doigts en
commençant cette fois par le bord opposé (l’index donc). Pour étirer les avant-bras, tendre le
bras droit, devant soi, paume vers le haut. Attraper les doigts avec la main gauche et les tirer
doucement vers le bas de façon à ce que la main forme un angle de 90° avec le bras, les
doigts vers le bas et la paume tournée dans la direction à laquelle vous faites face.

Les yeux :

Cligner rapidement des yeux et fixer le regard le plus loin possible. Penser à prendre une pause (sans écran) toutes les deux heures au minimum.

Voici donc,en résumé, les trois types d’exercices qui permettent de garder la forme, même enfermé dans un bureau : exercices physiques, gymnastique intellectuelle et relaxation

Février, la fête aux crêpes…

Comment faire sauter les crêpes?

Le plus rigolo quand on prépare les crêpes, c’est de faire les faire sauter dans la poêle ! Exercice un peu délicat, sauf si on a le bon matériel et les bonnes astuces.

Le bon matériel pour faire des crêpes :

La crêpière :

C’est une poêle un peu particulière car les bords sont très bas. Elle est au diamètre de la crêpe parfaite et surtout elle est anti-adhésive, ce qui permet à la crêpe de bien glisser, élément essentiel pour la retourner.

La spatule :

Sorte de grande cuillère en bois, on l’utilise pour décoller les bords de la crêpe avant de la retourner.

Le petit râteau :

C’est le matériel du vrai pro de la crêpe ! Il permet de bien répartir la pâte à crêpe sur toute la surface de la poêle.

Les bonnes astuces pour une crêpe parfaite :

Astuce n°1 : 
Des crêpes parfaites, sont des crêpes qui ne collent pas à la cuisson.

Pour cela on incorpore une cuillère à soupe de beurre fondu directement dans la pâte.

Astuce n°2 : 
Toujours graisser la poêle avant et après chaque crêpe.

Astuce n°3 : 
Attendre que la poêle soit bien chaude pour y verser la pâte à crêpe.

Saute, saute petite crêpe !

Dès que les bords de la crêpe sont cuits, il faut les décoller à la spatule. Puis agiter la poêle légèrement jusqu’à ce que la crêpe se détache totalement de la poêle.

Prêt pour le salto ? 

Alors on place la crêpe sur le bord de la poêle, en la laissant dépasser un peu, et hop ! D’un petit coup sec du poignet, la crêpe fait le grand saut !

Mais n’oublie pas de la rattraper et de l’autre côté pour continuer la cuisson!

La Recette de la pâte à crêpes Express

Cette Recette de pâte à crêpes Express est :
pour 6/8 personnes.

Une recette de pâte à crêpes express rapide et très facile pour faire rapidement des crêpes. Cette recette de pâte à crêpes ne demande aucun temps d’attente ou de repos. Elle peut être utilisée immédiatement. Son secret est simple, il ne tient qu’à l’air.

Préparation: 20 minutes
Cuisson: 3 minutes par crêpes

– Préparer les crêpes pour la chandeleur, le mardi-gras ou un repas crêpes.
– Compter et mesurer.
– Fournitures pour la Recette de la pâte à crêpes express :

  • 250 grammes de farine,
  • 3 œufs entiers très frais,
  • 1/2 paquet de levure,
  • 1 pincée de sel,
  • 1/2 litre de lait,
  • 3 cuillères à soupe d’eau,
  • 1 saladier,
  • 1 petit bol
  • Un fouet électrique,
  • Une poêle anti-adhésive.

Réalisation de la recette de la pâte à crêpes express

Le temps d’attente est remplacé par un peu de levure et beaucoup d’air
La pâte à crêpes est battue au fouet électrique pour l’aérer et la “gonfler” d’air.

Selon son âge aidez votre enfant à :

  • Mettre la farine dans le saladier ou un grand bol
  • Ajouter la levure.
  • Casser les œufs un par un dans un petit bol et les verser dans le saladier.
  • Ajouter une pincée de sel.
  • Mélanger la pâte à crêpes avec un fouet.
  • Ajouter progressivement le lait pour délayer la pâte. Terminer au fouet électrique. Le batteur électrique permet d’aérer la pâte à crêpes et de la gonfler d’air.
  • Faire chauffer la poêle huilée ou beurrée selon les goûts.
  • Verser la valeur d’une petite louche de pâte à crêpes et tourner la poêle pour répartir la pâte sur toute la surface de la poêle. Les bulles d’air donneront de la légèreté aux crêpes.
  • Dès les que les bords commencent à dorer et à sécher, la retourner.
  • Cuire l’autre côté puis empiler les crêpes dans un plat.

Le vin de la Saint-Valentin

Vin de la Saint-Valentin

St Valentin : «Je t’aime à la folie comme une puce à l’agonie» Vive le Saint-Amour !

Expression usitée dans la belle province par nos amis québécois pour raviver les feux de l’amour le soir de la St Valentin, et comme la chambre à coucher est au fond du couloir d’ajouter «Je suis dans le trèfle par-dessus la tête.»

C’est bucolique mais ce n’est que la ” fasse ” cachée d’un ouvrage savant et coquin le «Dictionnaire érotique de la francophonie», Georges Lebouc, éd. Racine, 150 pages dont j’ai découvert l’existence via un article de La Tribune de Genève au titre non équivoque « Les 750 mots de la fesse francophone ».

Que voulez-vous, c’est ainsi, en ce moment la Suisse me poursuit. Mais notre Lebouc, un patronyme prédestiné, lui est un linguiste belge, universitaire de renom, et pourtant, comme le note malicieusement l’auteur de l’article : « parmi toutes les nations conviées à ce dico culotté ou plutôt déculotté, la Suisse et la Belgique ne brillent guère.

«Oui, c’est très étrange. Les Belges et les Romands désirent, aiment et procréent comme tous les autres peuples. Pourtant, ils se montrent singulièrement peu imaginatifs pour en parler. Une forme de pudeur? » Bien évidemment, puisqu’il s’agit de francophonie notre humour gaulois et paillard est exclu du champ de l’’étude.

Si les belges sont pudiques le sieur Lebouc lui n’est pas dépourvu d’humour : « Pour attirer l’’attention sur la richesse du parler francophone, j’aurais pu choisir les voyages en ballon ou la culture du haricot vert», sourit le chercheur. «Mais j’ai préféré opter pour un thème qui intéresse tout le monde: l’’amour et le sexe. On n’entreprend pas un tel travail pour être lu par sept personnes.»

Au hit parade du vocabulaire, les champions du monde de la cochonnerie francophone sont sans contestation possible les Québécois suivis de près par les africains avec des centaines d’expressions. Florilège, où le raffinement n’est pas de mise,«Chérie, pourrais-je te crémer le gâteau ?» et madame de répondre «Désolée, pas ce soir, l’Armée rouge a débarqué.»

Le philologue Outre-quiévrain confirme la suprématie québécoise «On y rencontre, en particulier, nombre de formules pour désigner l’arrivée des règles dont la mystérieuse formule Tante Sophie est en ville et la masturbation: se donner un up and down, se polir le shaft, dompter le petit frère, faire marcher le petit moulin, cailler le pipi ou se poigner le Willie.» Sans oublier le présomptueux coller les mouches au plafond.

Comme en notre beau pays le parler « cul » francophone est majoritairement masculin. Les mecs sont “ramenards” même si, comme me le fait remarquer une délicieuse amie, ceux qui en parlent le plus ne sont pas forcément ceux qui le font le mieux.

Bref, comme le confirme notre savant «C’est une constante. D’ailleurs, les mots qualifiant les organes mâles , entendez le bazooka et les chnolles s’avèrent deux fois plus nombreux que ceux désignant le sexe féminin (par exemple la cocotte antillaise ou la mijole belge.»

Fruit de l’histoire, parions que dans quelques années, avec la montée en puissance, si je puis m’’exprimer ainsi, des femmes, le parler leste virera sûrement vers le féminin. Y gagnerons-nous en légèreté ? Je n’en suis pas sûr, les femmes de pouvoir me semblent taillées dans le même granit que les machos tant vilipendés.

Même si je n’ai que peu de goût pour la célébration des fêtes légales, comme la St Valentin, grande célébration consumériste, je me dois de surfer sur les grands mouvements de l’air du temps et, comme les sources sérieuses, ici le journal le Monde, crédibilisent les infos qui le sont moins, je vous offre pour cette fête dites des amoureux

Pour les traditionalistes, le recours au bouquet de roses s’impose accompagné, bien sûr, d’une très originale boutanche rosée.

Pour les romantiques :

Avec ce nom charmeur, le Saint-Amour est prédestiné à devenir le Vin de la Saint-Valentin.
Témoin de votre amour, il saura vous être fidèle pour toujours. »

Histoire de la Saint-Valentin

Nous remercions wikipédia qui est à l’origine de ses informations.

Le jour de la Saint-Valentin, le 14 février, est considéré dans de nombreux pays comme la fête des amoureux et de l’amitié. Les couples en profitent pour échanger des mots doux et des cadeaux comme preuves d’amour ainsi que des roses rouges qui sont l’emblème de la passion.

À l’origine fête de l’Église catholique romaine, le jour de la Saint-Valentin n’aurait pas été associé avec l’amour romantique avant le haut Moyen Âge mais avec l’amour physique. La fête est maintenant associée plus étroitement à l’échange mutuel de « billets doux » ou de valentins illustrés de symboles tels qu’un cœur ou un Cupidon ailé.

À l’envoi de billets au XIXe siècle a succédé l’échange de cartes de vœux. Cependant, en Amérique du Nord, les échanges de cartes ne se font pas selon la conception européenne où la carte de Saint-Valentin est envoyée à une personne « unique ». Il n’est pas rare qu’une personne y envoie une dizaine de cartes, et même que des élèves d’école primaire en envoient à leur maîtresse d’école.

Fêtes de la fertilité du mois de février.

Historique du jour de la Saint-Valentin :

L’association du milieu du mois de février avec l’amour et la fertilité date de l’antiquité. Dans le calendrier de l’Athènes antique, la période de mi-janvier à mi-février était le mois de Gamélion, consacré au mariage sacré de Zeus et de Héra.

Dans la Rome antique, le jour du 14 février était nommé les lupercales ou festival de Lupercus, le dieu de la fertilité, que l’on représente vêtu de peaux de chèvre. Les prêtres de Lupercus sacrifiaient des chèvres au dieu et, après avoir bu du vin, ils couraient dans les rues de Rome à moitié nus et touchaient les passants en tenant des morceaux de peau de chèvre à la main. Les jeunes femmes s’approchaient volontiers, car être touchée ainsi était censé rendre fertile et faciliter l’accouchement. Cette solennité païenne honorait Junon, déesse romaine des femmes et du mariage, ainsi que Pan, le dieu de la nature.

Au moins trois saints différents sont nommés Valentin, tous trois martyrs. Leur fête a été fixée le 14 février par décret du pape Gelase Ier, aux alentours de 498.

C’est à cette date qu’ils sont mentionnés dans les premiers martyrologes :

° Valentin de Rome.

Un prêtre qui a souffert le martyre à Rome dans la seconde moitié du iiie siècle et qui a été enterré sur la Via Flaminia.

° Valentin de Terni,

Un évêque d’Interamma (le Terni moderne), qui a également souffert le martyre dans la deuxième moitié du iiie siècle et qui a également été enterré sur la Via Flaminia.

Le rapprochement entre la Saint-Valentin et l’amour courtois n’est mentionné dans aucune histoire ancienne et est considéré par des historiens comme une légende. Il existe une légende selon laquelle la fête de la Saint-Valentin a été créée pour contrecarrer la pratique des lupercales par les jeunes amoureux qui dessinaient leurs noms sur une urne, mais cette pratique n’est citée dans aucune source écrite de l’époque.

Il ne faut cependant pas oublier que la plupart des fêtes chrétiennes se sont substituées à des fêtes païennes : oui mais que viennent faire le ou les saints Valentin ? Le jour de la Saint-Valentin a longtemps été célébré comme étant la fête des célibataires et non des couples. Le jour de la fête, les jeunes filles célibataires se dispersaient aux alentours de leur village et se cachaient en attendant que les jeunes garçons célibataires les trouvent (définition des lupercales). À l’issue de ce cache-cache géant, les couples formés étaient amenés à se marier dans l’année. Ceci permettait de développer la démographie et stimuler l’expansion des villages.
Cette pratique laissait libre cours à beaucoup de tricheries de la part de couples officieux ainsi que des hommes qui visaient une jeune fille en particulier et notamment « la plus belle du village », très courtisée.

Époque médiévale.

La première mention du jour de la Saint-Valentin avec une connotation amoureuse remonte au XIVe siècle en Angleterre, où l’on croyait que le 14 février était le jour où les oiseaux s’appariaient (lire entre autres « La Dame à la licorne »). Cette croyance est mentionnée dans les écrits de Geoffrey Chaucer au XIVe siècle. Il était courant durant cette période que les amoureux échangeassent des billets et qu’ils s’appellent chacun leur Valentin. Un de ces billets du XIVe siècle se trouverait à la British Library. Il est probable que nombre de légendes sur la Saint-Valentin aient été inventées pendant cette période.

Parmi ces légendes, on trouve celles-ci :

° La veille du martyre de Saint Valentin, il a glissé un « valentin » à la fille du geôlier qui aurait lu « de la part de votre Valentin ».

° Pendant une période d’interdiction de mariage des soldats romains par l’empereur Claude II, Saint Valentin arrangeait secrètement les mariages. Dans la plupart des versions de cette légende, le 14 février est la date liée à son martyre.

Ce fut Othon de Grandson, lors de la deuxième moitié du xive siècle, poète et capitaine à la cour d’Angleterre, qui fit connaître cette coutume dans le monde latin, notamment à la cour de Savoie : trente pour cent de sa poésie est dédiée à cette tradition. Citons par exemple La Complainte de Saint Valentin (I et II), La Complaincte amoureuse de Sainct Valentin Gransson, Le Souhait de Saint Valentin et Le Songe Saint Valentin.

Au début du xve siècle, Charles d’Orléans fit connaître l’œuvre d’Othon à la cour de France. Il écrivit lui-même plusieurs poèmes dédiés à la Saint-Valentin. Par la suite, cette tradition se perdit dans le monde latin et ne fut réactualisée qu’au xixe siècle.

Reliques :

Il existe plusieurs saints, donc plusieurs sites :

° À Dublin :
Au xixe siècle, les reliques de saint Valentin de Terni furent léguées par le pape Grégoire XVI à l »église des Carmélites de la rue Whitefriar à Dublin, qui est alors devenue un lieu de pèlerinage pour le 14 février. En 1969, dans le souci d’épurer le calendrier catholique de tous les saints légendaires, l’Église a ôté le jour de la Saint-Valentin de son calendrier officiel.

° À Roquemaure :
Depuis le 25 octobre 1868, l’église de Roquemaure dans le Gard abrite les reliques d’un saint Valentin. En 1868, elles furent achetées à Rome par un riche propriétaire viticole du pays qui les utilisa dans le but de protéger les vignobles du phylloxera, apparu là deux ans auparavant.

° À Saint-Pierre-du-Chemin :
Église Saint-Pierre depuis 1847, et authentifiées par le Vatican.

La Saint-Valentin dans les pays orientaux :

° En Chine :
Depuis les années 1980, la Saint-Valentin connaît une popularité importante, notamment chez les jeunes, qui génère diverses activités commerciales. À part la Saint-Valentin, il existe une fête traditionnelle, le Qi Qiao Jie, pour les amoureux, provenant d’une légende ancienne, dont la date est le septième jour du septième mois du calendrier lunaire.

° Au Japon :
Cette pratique est une obligation pour beaucoup de femmes, notamment les employées de bureau, qui doivent offrir des chocolats à tous leurs collègues masculins, parfois à un coût très élevé ; ces chocolats sont d’ailleurs appelés giri choko(義理チョコ?), c’est-à-dire « chocolats d’obligation ». Le 14 mars est appelé white day (le jour blanc) ; c’est un phénomène commercial créé au Japon et repris par la Corée du Sud, Taiwan et Hong Kong. À cette date les hommes sont censés offrir un linge (ou d’autres cadeaux) blanc à celles qui leur ont offert des chocolats. La jeune fille peut exiger à cette occasion un cadeau dont la valeur est trois fois supérieure à celle des chocolats offerts un mois plus tôt.

La Saint-Valentin s’est popularisée également en Inde et au Pakistan, provoquant l’hostilité de certains groupes opposés à cette influence occidentale.

La Saint-Valentin en Amérique du Sud :

° Au Brésil :
On ne parle pas de Saint-Valentin mais de dia dos namorados (jour des amoureux) fêté non pas le 14 février mais le 12 juin.

° En Colombie :
La Saint-Valentin est fêtée le troisième samedi du mois de septembre. Elle s’appelle día del amor y amistad ou jour de l’amour et de l’amitié

Il n’y a que l’amour….que j’adore en secret chante encore Charles Aznavour..

Gardons la ligne en perdant du poids

Comment perdre du poids après les fêtes

Moment de réjouissances et d’allégresses, les fêtes peuvent entraîner une prise de poids et laisser de mauvais souvenirs. Après quelques jours de fois gras de dinde farcie et autres bûches glacées, combien se plaignent d’avoir pris des kilos !

Quelques rappels sur la perte de poids ne pourront faire de mal à personne.

Lors des fêtes, on oublie les restrictions alimentaires.
Chacun consomme ce qu’il veut sans tenir compte des conséquences sur l’organisme.
Pour retrouver votre silhouette, il va falloir adopter certaines habitudes alimentaires.

Celles-ci sont d’autant plus importantes qu’elles vous aideront à maigrir naturellement. Aussi, il va falloir être patient car vous n’allez pas vous affiner du jour au lendemain. Ce n’est que progressivement que vous parviendrez à chasser les kilos superflus.

Première attitude à adopter : boire beaucoup d’eau

L’eau peut vous aider à perdre du poids facilement : à la fois en vous hydratant et en régulant votre appétit. C’est pourquoi il est conseillé de boire régulièrement en cas de régime. Cela vous permettra d’éliminer les déchets qui se trouvent dans l’organisme et notamment les toxines.

Buvez de l’eau, mais aussi des jus de fruits, tisanes et soupes. Ils ravitaillent l’organisme en vitamines et en minéraux, surtout dans le cas des jus de fruits. Pensez également au thé vert qui à l’avantage de ne pas faire travailler votre système digestif entre les repas.

Deuxième attitude : bien mâcher les aliments et manger lentement

Il faut prendre le temps de bien mastiquer les aliments : vous faciliterez la digestion et profiterez pleinement de ce qu’ils peuvent vous apporter.

Pour les mêmes raisons, évitez de manger trop vite. Cela complique inutilement la digestion et vous pousse à avaler davantage que ce que réclame votre appétit.

Prenez plutôt le temps de manger et concentrez-vous sur ce que vous faites : Le fait de penser à ce que l’on va avaler active certaines parties du cerveau, qui seront plus réactives et pourront prévenir le corps qu’il n’a pas besoin d’absorber plus de nourriture.

C’est ce qui explique que l’on puisse, par exemple, grignoter devant un écran sans se rendre compte que l’on n’a pas réellement faim.

Troisième attitude : la pratique d’une activité sportive

Les habitudes à prendre ne sont pas seulement d’ordre alimentaire : l’activité physique a son rôle à jouer. En fonction de votre emploi du temps, il faudra choisir trois jours dans la semaine durant lesquels vous ferez des exercices physiques d’au moins 40 min.

Certains sports peuvent vous aider à perdre plus rapidement du poids. Des sports qui ne sont pas forcément difficiles à pratiquer : citons -entre autres- la natation, le cyclisme et la gymnastique.

À éviter

Certains comportements alimentaires doivent être bannis : ils ne favorisent pas la perte de poids et, à l’inverse, augmentent par la suite le risque de reprendre des kilos.

Tout d’abord, il faut oublier les régimes trop sévères, trop stricts et trop contraignants. Perdre beaucoup de poids en peu de temps peut paraître séduisant, mais ce n’est jamais une bonne idée.

D’abord parce que cela va avoir des effets sur votre santé et ensuite parce qu’il y a toutes les chances que vous repreniez du poids aussitôt que le régime sera fini.

Avant de commencer un régime, pensez donc à demander l’avis de votre médecin.

Le jeûne n’est pas non plus la meilleure des solutions pendant cette période. Outre les carences, vous risquez de donner de mauvaises habitudes à votre organisme.

Certains aliments doivent être bannis de votre quotidien pendant un bon bout de temps : Il s’agit des aliments trop riches en graisses ou en sucres et des fritures. Évitez l’alcool et essayez de réduire votre consommation de sel pour ne pas avoir trop faim au cours de la journée.

Votre ennemi n°1 est le grignotage, suivi de près par les desserts trop riches en sucres et en graisses.

Et pour éviter de succomber au « picorage entre les repas », vous pouvez prendre une collation. Mais prenez avant tout l’habitude d’absorber des repas suffisants pour « tenir » toute la journée. Un peu de volonté et une bonne organisation devraient vous permettre de faire disparaître l’effet des fêtes ou de la gourmandise.

La motivation est souvent la meilleure des choses…

Un dernier conseil toutefois :

Notez tout ce que vous mangez, sans exception dans un carnet. Cela suffit souvent à donner un regard critique sur soi-même et à résister à la tentation.

Connaissez-vous l’effet ” YOYO” ?

La plupart des “régimes miracles ” vous obligent à réaliser une importante restriction calorique, voire même de supprimer certains aliments essentiels de votre alimentation.

Ceci pour obliger votre corps à puiser dans ses réserves énergétiques, et particulièrement dans les ressources adipeuses “les graisses”.

Ces méthodes paraissent évidentes…

Si notre corps subit un déficit calorique, après quelques jours, il s’adapte et limite ses dépenses, notamment en stoppant d’entretenir la masse musculaire.

Les muscles sont les tissus les plus actifs du corps humain, ils dépensent les calories que nous brûlons chaque jour.

Ainsi, moins de muscles signifient plus de calories excédentaires disponibles. De plus, le corps modifie son schéma habituel de fonctionnement en renforçant sa capacité à stocker les graisses, afin de constituer des réserves stratégiques par peur d’en manquer.

Après une à deux semaines de progrès rapides, la perte de poids connaîtra un coup d’arrêt brutal et définitif. Finalement, ce qui devait se traduire par une fonte des graisses se transforme en un ralentissement du métabolisme provoquant : fatigue et énervement et pire encore par une accumulation des tissus graisseux.

Cet état de fatigue morale et physique risque, de plus, de vous pousser vers tous les aliments à votre portée. Le régime trop épuisant, vous jetez l’éponge et reprenez une alimentation plus riche, c’est déjà trop tard !

Un métabolisme très bas vous dirigera vers la reprise de kilos supplémentaires. Non seulement vous regagnerez ceux que vous avez perdus, mais vous en amasserez quelques-uns de plus. Vous connaissez désormais le classique du « yoyo » ses limites mais surtout ses risques…..

Bon courage !

L’index glycémique

Vous avez sûrement déjà entendu parler d’Index Glycémique ou d’IG ?

Vous vous demandez ce que cela signifie :
Est-ce un effet de mode ? A t’il un réel effet bénéfique sur la santé ?
L’équipe de Recettes-et-terroirs vous éclaire sur son mode de fonctionnement.

L’Index Glycémique : en pratique

Nous le savons tous, une alimentation variée et équilibrée est primordiale. Néanmoins cela ne suffit pas. Il faut également veiller à la qualité des produits que nous consommons. C’est l’Index Glycémique ou IG qui sera votre référence.

Qu’est-ce que l’Index Glycémique (IG) ?

Après un repas composé d’aliments glucidiques (riz, pâtes, blé, lentilles, semoule, pomme de terre, pain, produits céréaliers, fruits etc.), le glucose issu de leur digestion passe dans le sang et dans l’organisme. La glycémie (taux de sucre dans le sang) s’élève alors plus ou moins rapidement et de l’insuline (hormone) est libérée pour ramener ce taux à la normale.

L’IG est la mesure de l’importance et de la rapidité de cette augmentation. La référence de l’IG est le glucose (sucre pur) qui possède un IG élevé de 100. Tous les aliments glucidiques ont ensuite été comparés en fonction de ce témoin et ce dans les mêmes conditions. Ces tests ont ainsi permis l’élaboration d’une classification des IG.

En résumé, les aliments glucidiques se distinguent selon leur vitesse d’absorption dans le sang : si ils passent vite dans le sang, on parle d’IG élevé. Au contraire, si ils sont diffusés plus lentement, on parle d’IG bas.
En général, une consommation accrue en aliments à IG élevé favorise une prise de poids. En effet, chez une personne qui consomme des sucres raffinés en excès, un déséquilibre se produit. Pour digérer tout le sucre ingéré, cela oblige le corps à sécréter d’importantes quantités d’insuline pour retrouver une glycémie normale. Ce mode d’alimentation force l’organisme à stocker le surplus de sucres sous forme de graisses, entraînant une augmentation du poids.

A l’inverse, une alimentation adaptée à vos besoins et composée d’aliments à IG moyens à bas est recommandée pour limiter ce phénomène et ainsi les risques de prise de poids. Elle est également vivement conseillée pour les personnes diabétiques.

Une alimentation basée sur de faibles IG procure une sensation de satiété durable. Elle écarte toute envie de grignoter entre les repas. Ainsi pour stimuler vos coupe-faim naturels et ralentir le processus de digestion, préférez les produits non raffinés, complets et riches en fibres. C’est un facteur essentiel pour contrôler plus facilement votre poids.

De plus, les aliments à faible IG vous permettent d’éviter les coups de fatigue et ainsi d’optimiser vos performances physiques et intellectuelles. A savoir que le repas conseillé avant un entraînement ou une compétition sportive est composé de pâtes cuites al dente, à diffusion lente (cf. Variation de l’IG).

Les Variations de l’Index Glycémique.

Même si les IG ont été déterminés pour chaque aliment dans des conditions précises, en pratique certains paramètres peuvent le modifier. En effet, l’IG varie en fonction des variations que subissent les aliments.
La cuisson :
Avec une cuisson prolongée, l’aliment subit de fortes transformations, entraînant une digestion plus rapide. Son IG s’en voit augmenté. Il est conseillé de privilégier les cuissons al dente.
Le mode de préparation :
Lorsqu’elles sont réduites en purée ou mixées, les fibres sont cassées. Le travail de l’estomac en est donc affaibli ralentissant la digestion et augmentant l’IG.
Les fibres :
En choisissant des produits riches en fibres (ex : pain complet, légumineuses, farines complètes etc.) à l’instar des produits raffinés, vous favorisez la diminution de l’IG. De même vous pouvez abaisser l’IG d’un féculent ou d’un produit céréalier en l’associant à des légumes verts crus ou cuits.
Le degré de maturité des fruits :
Plus la maturité d’un fruit est avancée, plus il contient de sucres pouvant influencer l’IG. Evitez les bananes et les melons trop mûrs.
Les graisses :
La présence de graisses, consommées en même temps que des aliments glucidiques, entraîne une résistance à la vitesse d’absorption. La digestion s’en trouve ralentit et l’IG réduit.
Les repas complets :
La combinaison d’un aliment glucidique à des protéines, lipides et fibres provoque une digestion plus lente. Avec des repas complets et variés, la digestion est optimisée et l’IG stabilisé.
Dans tous les cas, méfiez-vous des sucreries et des produits à base de glucides raffinés ou transformés (ex : pain blanc, les sauces et plats industriels ou encore les fruits en sirop) qui ont une influence néfaste sur l’IG et qui peuvent favoriser la prise de poids. Optez plutôt pour des produits plus complets et pour une alimentation plus naturelle.

Pour vous aider à sélectionner au mieux vos aliments, voici quelques valeurs d’IG :

Aliments à IG élevé (à limiter ou éviter) :
Sucre blanc, sodas, pain blanc, biscottes, galettes de riz, pétales de maïs, farines raffinées, pâtes trop cuites, purée, fruits secs etc.
Aliments à IG moyen :
Confiture, barres chocolatées, biscuits secs ou sablés, jus de fruits filtrés et nectars, sorbet, pain de campagne, flocons d’avoine ou muesli, maïs, pâtes cuisson normale, riz blanc, semoule, banane, melon etc.
Aliments à IG bas (à privilégier) :
Chocolat noir à 70% de cacao, pâte à tartiner au chocolat, crème glacée, céréales complètes pour le petit déjeuner, pain complet, jus de fruits pressés maison, légumineuses, pâtes al dente, quinoa, boulgour, riz basmati, légumes verts, fruits oléagineux, compote de fruits sans sucre ajouté, pêche, prune etc.

Vous cherchez à faire attention à votre poids ? Nous avons sélectionné pour vous quelques recettes à IG bas :
Entrées :
Antipasto d’artichauts violet, Potage aux pois cassé à la coriandre, Tartines à l’italienne
Plats :
Taboulé de quinoa au saumon, Pâtes complètes au tofu et aux olives, Riz pilaf aux crevettes,Couscous léger, Pâte à galettes
Desserts :
Brochettes sucrées -salées, Clafoutis pomme-châtaigne, Moelleux au chocolat
Collation :
Barres de céréales aux pépites de chocolat, Biscuits aux noix et aux flocons d’avoine,Blinis diététiques

Composez dès maintenant des menus à IG bas. Faites de meilleurs choix et contrôlez facilement l’IG de votre alimentation. Tonus et minceur sont assurés.

Les sauces

Les sauces

Les sauces chaudes ou froides, salées ou sucrées, sont indispensables à toute cuisine raffinée et ce sont d’elles dont dépendent la saveur et la perfection d’un plat.
 Dans la cuisine actuelle, les sauces ne sont plus synonymes de prise de poids. En effet, il existe des recettes de sauces légères, innovantes ou revisitant les grands classiques de la cuisine française.

Les sauces en pratique.

Les sauces sont la signature de votre repas. Sans masquer le goût des aliments, elles permettent d’orchestrer harmonieusement vos mets en leur conférant une saveur bien spécifique. A coup sûr, ce sont les vedettes de votre cuisine.

Réussissez vos sauces en limitant les matières grasses, surveillez les quantités que vous consommez et utilisez pour ainsi garder la ligne. Pour cela, favorisez l’utilisation d’herbes aromatiques, d’épices, de condiments, de bouillons, de fonds, d’alcools…
En bref, qu’elles soient traditionnelles ou plus modernes, les sauces vous invitent à une promenade gastronomique et légère.

Sans passer des heures en cuisine, vous pouvez préparer vous-mêmes vos sauces à l’aide de nos recettes. Sans vous ruiner, et simplement, vous pourrez vous régaler d’une bonne cuisine réalisée par vos soins ! Aussi, organisez-vous et choisissez la préparation qui vous convient : à la minute, à l’avance ou encore mijotée.



1. Les Fonds :

Blancs ou bruns, ils consistent en un bouillon aromatisé de volaille, de veau, de légumes ou de poisson qui s’utilise en complément de cuisson. Faciles d’utilisation, vous les trouverez en vente dans le rayon épicerie de votre magasin. Ils sont prêts à l’emploi, soit sous forme de cubes soit sous forme de poudre.



2. Les Roux :

Ils sont réalisés traditionnellement à partir d’un fond blanc ou brun auquel du beurre et de la farine sont incorporés. Ils servent également de base pour la confection de sauces blanches ou brunes. Pour réduire les calories de vos recettes, préférez une matière grasse allégée et remplacez la farine par une fécule de maïs ou de pommes de terre. 

Quelques exemples : Sauce blanche, Sauce béchamel allégée (sauce blanche au lait), Sauce Mornay sans beurre (béchamel et gruyère râpé), Sauce velouté allégée (sauce blanche, œuf et citron), Sauce Aurore allégée(béchamel et tomates), Sauce au raifort



3. Les Emulsions :

Elles sont composées de deux substances liquides qui ne se mélangent pas naturellement (comme l’eau et l’huile). Elles restent stables grâce à l’ajout d’un troisième ingrédient, appelé émulsifiant.
Elles se déclinent aussi bien chaudes que froides :

Sauces émulsionnées chaudes :
Sauce béarnaise allégée, sauce hollandaise allégée, sauce choron allégée (sauce béarnaise aux tomates)

Sauces émulsionnées froides :
Sauce barbecue, aïoli allégé, sauce mayonnaise allégée,vinaigrette allégée.



4. Les Coulis :

À base de purée de légumes ou de fruits, ils servent aussi bien à parfumer vos plats qu’à les décorer. Ils se consomment froids ou chauds :
coulis de tomates au basilic, ketchup de betteraves, coulis de poivrons, coulis de framboises au citron vert, coulis de fruits de la passion,coulis d’abricots…



5. Les sauces salées et sucrées :

Elles sont idéales pour apporter une touche de douceur et de couleur aussi bien à vos plats (sauce au poivre vert, sauce à l’aneth, sauce au fromage de chèvre) qu’à vos desserts (sauce au chocolat allégée, crème anglaise allégée, sauce caramel).



Choisissez la recette qui convient le mieux à votre menu. Quelle soit douce ou forte, classique ou inventive, pimentée ou suave, saucez le tout avec plaisir !

Le retour de la quenelle de Nantua ou d’ailleurs selon le figaro

Quenelle sauce nantua

Dans notre soif de découvrir les retours des cuisine d’hier, cet article du Figaro que nous reproduisons intégralement mérite que l’on s’y arrête.
La quenelle est un des bonheurs de la cuisine d’hier et malheureusement elle s’est faite rare ces dernières années…

Après le boudin noir et le pâté en croûte, le come-back de la quenelle a-t-il sonné ?

L’édition se penche sur la question, certains chefs la réhabilitent à la sauce historique, d’autres la réinventent en brochettes, à l’épeautre ou au quinoa. Il semble même que les jeunes cadres en raffolent à l’heure du déjeuner… La rumeur enfle !

« Ah ! cette légèreté, cette immatérialité et cette suavité des quenelles ! » C’était le cri de joie de Curnonsky (1) à sa sortie de La Mère Brazier, à Lyon, en 1925. Un peu moins d’un siècle plus tard, ce petit zeppelin gratiné soulève rarement autant d’enthousiasme. Pour de nombreuses générations, il est synonyme de plâtrées de sauce cantinière et de contenu informe dans l’assiette, bien loin des vols-au-vent et autres bouchées à la reine qu’il affectionne !

Royale, la quenelle est en effet le témoignage d’une cuisine d’un autre temps : dès Louis XV, ce mélange de farine, lait et oeuf (la « panade ») s’enrichit peu à peu de volaille ou de poisson finement haché. On voit son origine dans la knödel allemande, littéralement « boule de pâte ». Mais c’est en 1830 que la quenelle de brochet, la plus délicate de toutes, s’impose dans la gastronomie lyonnaise grâce à une abondance de ce poisson dans la Saône.
La sauce Nantua – aux écrevisses – s’y marie fort bien : voilà le couple star de la cuisine fin du XIXe siècle enfin recomposé.

Une recette de quenelles pour votre plaisir

(photo : hautbugey-tourisme.com)

Mlle Saveur se promène sur la toile

Bonjour, Madame, Bonjour Monsieur,

Je suis Mlle saveur. Je suis une petite recette de cuisine du site www.recettes et terroirs.com. Je me promène sur la toile à la recherche de partenaires pour mieux être accompagnée. J’ai besoin de produits de terroirs pour me fabriquer et de bons vins pour que je sois mise en valeur, donc me voilà comme d’ailleurs mes 39600 copines recettes également traduites en plusieurs langues qui se démènent pour trouver leur compagnon le temps d’une campagne.
Nous pouvons même nous regrouper autour d’un même cru dans une farandole qui nous conduira dans le monde entier.

Faire la fête et s’amuser dans ce monde de brutes est notre raison, plus notre passion…

Si vous avez envie de faire la fête avec nous c’est le moment. Sautez dans notre carrosse pour que le rêve de nous accompagner devienne une réalité…

Vous pouvez aussi m’appeler pour un entretien discret ou nous parlerons des conditions de notre escapade dans des millions de foyers gourmands qui nous utilisent chaque jour ou celui de nos 250000 abonnés.

Pierre, mon Papa le Chef de cuisine de Recettes ou Cuisine et terroirs ne souhaite que du meilleur pour moi, mais c’est moi qui choisit, indépendance oblige. La preuve je suis déjà chez vous !!!

Appelez moi vite …Mais convenances obligent, si vous préférez appeler avant mon Papa pour demander ma main c’est
au.xxxxxxx qu’il faudra vous adresser.

Ne vous faites aucun souci mon Papa est très gentil.

Merci de m’avoir entendue, je vous attends pour vous présenter mes copines et faire la fête.

En attendant de se rencontrer bonne journée.

Mlle saveur Ambassadrice de Recettes-et-Terroirs.com