Gaspacho de fraises et tomates fraîches

Les Conseils de Pierre notre chef de cuisine pour servir votre gaspacho de fraises et tomates

Laver, égoutter et équeuter les fraises restantes.
Les couper en deux si elles sont grosses,
Les répartir dans des verres ou des coupelles.
Verser dessus le gaspacho bien frais.
Ajouter la menthe ciselée.
Poivrer au moulin.

Alberto Herráiz ajoute à ce gaspacho 1 dl d’eau de rose et 5 ml de sirop de rose.
Recette extraite de son livre

Mais d’où viennent donc les noms de nos petits plats

D'ou viennent les noms de nos plats

Mais d’où viennent donc le nom de nos petits plats

►Abrantes

Gouverneur de Paris, Junot, duc d’Abrantès, avait un des meilleurs cuisiniers de l’époque : Richard, qui a donné som nom aux chauffe-plats ainsi appelés. C’est ce chef qui inventa certains plats “à la d’Abrantès” en hommage à son maître.

►Anna

Adolphe Dugléré, qui dirigeait alors les cuisines du Café Anglais, inventa les pommes de terre Anna pour la célèbre courtisane Anna Deslions.

►Artois (à la)

Les ris de veau ainsi nommés ont été inventés par le comte d’Artois, futur Charles X.

►Aurore

C’était le prénom de la mère de Brillat-Savarin, à laquelle l’auteur de la “Physiologie du goût” dédia quelques recettes.

►Bagriation

La princesse Bagration, à l’époque de la Restauration , avait pour chef, Marie-Antoine Carême, le grand Carême, qui lui dédia quelques plats, comme il l’avait fait pour Talleyrand.

►Bellevue

Madame de Pompadour aimait flatter le palais de Louis XV, plus fin que celui de son aïeul Louis XIV. Elle possédait le château de Bellevue et certaines recettes qu’elle imagina prirent le nom de ce lieu-dit, d’autres celui de leur créatrice entre autre; filets de volaille à la bellevue, saumon en bellevue…

►Bernis

Cardinal de Bernis à qui nous devons les crêpes dentelles.

►Berry (à la)

Les filets de lapereaux à la Berry doivent leur naissance à la gourmande duchesse du Berry, la fille préférée du Régent.

►Bourdaloue (à la)

Invention d’un pâtissier installé à la Belle Epoque, rue Bourdaloue, à Paris. La pâtisserie existe encore et continue les spécialités de son fondateur.

►Bresolles

Ragoût inventé par le valet de chambre du Marquis de Brésolles sur le théâtre des opérations de la guerre de Sept Ans.

►Cardinal (à la)

C’est à Mazarin, ce raffiné, que l’on doit cette appellation pour les plats qu’il inspira.

►Chantilly

La création de cette crème sublime est généralement attribuée à Vatel. Mais les pâtissiers de Catherine de Médicis (1519-1589 fouettaient déjà la crème fraîche à l’aide de tiges de genets. C’est lors d’une réception donnée par Fouquet en l’honneur de Louis XIV que Vatel fait connaître cette délicieuse crème fouettée.

►La Charlotte

Pudding créé pour la reine Charlotte, épouse de George III; charlotte parisienne créée par Carême vers 1800, moule tapissé de biscuits à la cuiller et de crème bavaroise.

►Les croissants

En 1863, pendant le siège de la ville de Vienne en Autriche par l’armée turque, un boulanger est intrigué par des bruits souterrains. Il en informe les autorités viennoises qui découvrent des ennemis creusant des sapes pour envahir la ville. En récompense, le boulanger eut la permission de fabriquer des petits feuilletés en forme de croissant, symbole du drapeau turc.

►Vincent de la Chapelle

Maitre-queux de la maison de France sous Louis XV, nous lui devons le poulet à la reine, le filet braisé à la royale, le consommé à la reine et surtout les bouchées à la reine.

►Clamart (à la)

Pendant de très nombreuses années, les petits pois consommés à Paris, et en particulier à la Cour, provenaient des jardins maraîchers de Clamart, dans la proche banlieue.

►Conti (à la)

Appellation donnée à quelques recettes inventées par les officiers de bouche du prince de Conti. Deux d’entre eux ouvrirent en 1786 le restaurant des Frères Provençaux.

Mais c’est la princesse de Conti qui “inventa” le carré de mouton qui porte son nom, ce fameux carré “gourmandé de persil” que Molière évoque dans le Bourgeois Gentilhomme.

►Cussy (à la)

Louis de Cussy, un des plus spirituels gormets de la première moitié du XIXème siècle, était préfet du palais sous Napoléon Ier et son cuisinier lui dédia quelques belles recettes.

►La sauce Béarnaise

La sauce béarnaise ne date pas de l’époque d’Henri IV. Il semble qu’elle doive son nom au fait qu’elle ait été servie pour la première fois au pavillon Henri IV à St-Germain-en-Laye au 19 ème siècle.

►Le Financier

Gâteau créé par le pâtissier Lasne près de la Bourse vers 1890, pour régaler les financiers rapidement et sans se salir les mains.

►Flan

Dessert somptueux du temps des rois, perfectionné aux fruits confits au 19e siècle en Champagne.

►Frangipane

De Cesare Frangipani (comte italien). Catherine de Médicis nous la fit connaître vers 1580.
La Frangipane a en fait été inventée par le marquis Pompeo Frangipani, maréchal de France sous Louis XIII et membre de la célèbre famille Frangipane de Rome. Il inventa en fait un parfum à base d’amandes dont il parfuma ses gants. De ce fait, le parfum à l’amande fut dit “à la Frangipane”. Un pâtissier s’en servit plus tard pour parfumer sa crème.
(Un descendant des Frangipane qui nous a écrit)…

►La sole normande

Elle est l’oeuvre du chef du restaurant “Le Rocher Cancale” nommé Langlais, qui, en 1848, lors d’un dîner du Jury Gourmand dont le restaurant est le siège, servit ce plat.

►Le tournedos Rossini

Grand amateur de gastronomie fine et de vins rares, sa cave à vin était légendaire, il avait satable attitrée à la Tour d’Argent, chez Bonfinger, au Café des Anglais, chez Lucas et Marguerite et à la Maison Dorée, dont le chef, Casimir Moisson, aurait dédié une création, ce tournedos maintenant légendaire, au compositeur. Rossini avait l’habitude, en entrant dans ces endroits chic, de serrer la main du maître d’hôtel, du sommelier, puis des serveurs. Il se dirigeait ensuite vers la cuisine afin de serrer la main du chef et, seulement après, s’asseyait à table. En plus de cette recette de tournedos, Rossini prête son nom à plusieurs créations culinaires : des œufs pochés, du poulet, un filet de sole et des cannellonis sont ainsi assaisonnés à la sauce Rossini , un mélange de foie gras, de truffes et de sauce demi-glace.

Pendant les années que Rossini passa à Paris, il devint non seulement le musicien le plus célèbre de son époque, mais également l’ami d’Antonin Carême, la grande toque du premier tiers du xixe siècle, qui soulignait que Rossini était le seul être qui le comprenait vraiment.

►Margarine

En 1869, Napoléon III ouvre un concours pour doter les équipages de la flotte d’un produit gras comestible, peu cher et se conservant plus longtemps que le beurre. C’est Hippolyte Mège-Mouriès qui mat au point ce substitut de beurre et le baptise Margarine (de margaritas en grec) qui signifie “comme la perle”.

►Marie Harel

Paysanne normande en son village de Camembert, fabriquait depuis 1760 son fromage qui est depuis mondialement connu.

►Meringue

Proposée le 3 juillet 1720 par le cuisinier Gasparini à Marie Leszczynska, future épouse de Louis XV.

►Mille-feuille

Gâteau créé par le cuisinier Pierre François de la Varenne, auteur du cuisinier français en 1651, perfectionné par Carême.

►Robert (à la)

La sauce Robert, dont Rabelais faisait si grand cas, a été, parait-il, inventée par Robert, cuisinier de l’abbé de Saint-Germain-des-Prés, au Moyen Age.

►Soubise (à la)

Sauce inventée par Constant, chef de cuisine à la maison de Soubise.

►Saint-Honoré

Inventé en 1846 à Paris par le pâtissier Chiboust puis en 1863 par le pâtissier Auguste Jullien, maintenant formé d’une couronne de choux remplis de crème posée sur une pâte brisée.

►Savarin

Baba sans raisins secs créé en 1845 par le pâtissier Auguste Jullien en hommage au gastronome Brillat-Savarin.

►Villeroy (à la)

Les poulets à la Villeroy sont attribués à la maréchale de Luxembourg, duchesse de Villeroy.

►Xavier (à la)

Potage inventé par Louis Stanislas Xavier de France, comte de Provence et futur Louis XVIII.

►Le Baba au Rhum

Le beau-père de Louis XV, Stanislas de Leczinski, trouvant le kougelhof un peu sec, décide de le tremper dans un sirop de rhum et de le flamber. Il nomme sa trouvaille “l’ali-baba” car il était en train de lires les comtes des Milles et une Nuits.

►La pêche melba

La “pêche Melba” a été créée en 1893 ou 1896 par Auguste Escoffier qui dirigeait les cuisines de l’hôtel Carlton à Londres. Admirateur de Nelly Melba, célèbre cantatrice, il imagine un entremets associant finesse et élégance. Les pêches fraîches entières sont pochées dans un sirop vanillé et dressées sur un lit de glace vanille et nappées de coulis de framboise. l’ensemble est incrusté dans un bloc de glace sculpté en forme de cygne. Pas de chantilly donc…. Sachez apprécier l’original.

►Le homard à l’américaine

En 1867, Fraysse, un sétois chef du Peters à Paris, accueille tard dans la soirée, trois clients américains. La journée ayant été très chargée, il ne reste dans le garde-manger qu’un homard cuit et un peu fatigué. Se souvenant d’une ancienne recette de la maison, il apprête le homard de cette façon mais ajoute aromates et piments afin de faire “passer” le crustacé. Le plat est accueilli d’une façon enthousiaste et les clients après avoir étanché leur soif veulent à tout prix connaître le nom de cette préparation. Pris de court, Fraysse leur annonce qu’ils viennent de déguster un homard à l’américaine.

►La vinaigrette

Ce mode d’assaisonnement de la salade à la française, faisait fureur en Europe au 18e siècle lorsqu’un certain chevalier d’Albignac, émigré réfugié, fit fortune à Londres en louant ses services de fashionable salad maker. Il allait de maison en maison avec son nécessaire (flacons d’huile et de vinaigre, aromates, caviar, truffes), réclamé par les maîtresses de maison qui trouvaient du dernier chic de sortir leur plus beau saladier pour que le chevalier y tourne la salade assaisonné de French Dressing: nom que porte encore aujourd’hui la vinaigrette classique chez les Anglo-Saxons.

Sushi à Paris : les coins à découvrir à Paris

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Découvrez dans cet article les endroits tendance pour manger du sushi à Paris. Ces restaurants de la capitale vous offrent littéralement un voyage de saveurs à des prix intéressants.

Sushi à Paris : les lieux tendance en 2018

Vous voulez manger du sushi à Paris?
Retrouvez dans cet article les lieux les plus en vue comme Côté Sushi où vous pourrez vous faire plaisir. Ils se trouvent tous à Paris.

– Isami-4 quai Orléans, 75004

C’est l’un des meilleurs dans le domaine. Normal : le chef cuisinier est un Japonais?! M. Katsuo Nakamurads est un professionnel du domaine. Seulement, les places étant réduites, dépêchez-vous. Prévoyez entre 45 et 60 €. La dégustation se fait à environ 35 €.

– Benkay pour des sushis à Paris-61 quai de Grenelle, 75015

Ce sont des plats cuisinés avec le traditionnel riz japonais. Les ingrédients sont frais et la qualité répond présente. Par contre, si vous voulez y aller, réservez le plus tôt possible. Selon l’heure de la journée, vous paierez entre 40 et 126 €. Un restaurant où vous serez sûr de bien manger.

– Michi-58 bis rue Sainte-Anne, 75002

Les prix sont abordables, mais n’empêche pas la qualité. À midi, vous devrez prévoir entre 14 et 20 € environ. Le soir, les prix varient entre 23 ou 35 € pour pouvoir manger des sushis à Paris frais. C’est un petit restaurant. Le rapport qualité-prix est soigneusement pris en compte.

– Ai-7 rue de la Michodière, 750002

La chef des lieux est connue pour son originalité et la qualité de ses plats. Ils sont pour la plupart hors menu et participent à la renommée du restaurant. Entre 15 et 25 €, vous mangerez agréablement. Et si vous voulez avoir les plats hors menu, vous dépenserez entre 40 et 50 € environ.

– Bizan-56 rue Sainte-Anne, 75002

Vous y goûterez non seulement des sushis, mais aussi des plats japonais. Le chef vous livre ses secrets gastronomiques pour des sushis à Paris. En réalité, vous vivrez une expérience inouïe en matière de cuisine. Vos papilles seront exaltées?! Pour le prix, prévoyez entre 38 € et 95 € selon que vous y alliez à midi ou le soir.

– Makine-61 Quai de Grenelle 75015

Ce restaurant japonais vous offre d’autres mets hormis les sushis. Vous prendrez bien un sashimi, un maki ou un chirashi. À midi, les plats sont disponibles à 30 € environ. Les soirs, les prix sont plus élevés : 50 à 70 €. Mais le besoin de qualité et la satisfaction du client sont au rendez-vous avec les sushis à Paris?! De plus, le sushi peut être un allié de votre santé, comme vous pouvez le noter sur Astuce Santé

– Blueberry-6 rue du Sabot, 75006

Vous souhaitez vous détendre en découvrant des saveurs exquises?? Il n’y a rien de mieux que ce restaurant où assaisonnement et saveur vont de pair. Vous pourrez goûter au saké, l’alcool japonais si célèbre. Pour 35 ou 50 €, vous serez bien rassasié et aussi satisfait de votre choix.

– Yamamoto-6 Rue Cahabanais, 75002

La qualité des sushis y est irréprochable, le charme des lieux splendides et les compétences du chef au point. Vous vous installerez posément derrière le comptoir et assisterez à la préparation de votre plat de sushi à Paris. Vous aurez entre 10 et 23 € des sushis à midi et entre 30 et 40 € d’autres pour le soir.

– Izu-7 rue Véronèse, 75013

Vous serez accueilli comme un prince?! Un service chaleureux et un personnel convivial vous attendent. Ici, les ingrédients sont toujours frais et la cuisine de qualité. En fait, le rapport qualité-prix est aussi un point sur lequel l’on insiste. Aussi bien par l’originalité que par la cuisson, vous serez littéralement emballé?!

– Wap N Roll Sushi-10 rue de Budapest, 75009

Ici, vous n’aurez pas à trop attendre après votre commande de sushi à Paris. Vous serez vite servi?! Et les sushis sont succulents. Vous serez ravi?! Voilà tout sur ces restaurants de qualité en matière de sushi et plats japonais

Crème chiboust

La crème Chiboust sert classiquement à garnir le Saint Honoré mais pour plus de facilité elle est souvent remplacée en pâtisserie par de la simple crème Chantilly. La Chiboust c’est le "Serpent à plume"… "Le Loch Ness" des cuisines… Pléthores de recettes et de matchs sanglants cherchant à justifier de l’authenticité de la recette. L’important est surtout de trouver celle qui vous agréera le plus et que vous pourrez reproduire à loisir avec un bon résultat.