
Nems de confit de canard aux cèpes
Recettes : Entrées >> Aumônières

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Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la langoustine n’est pas une petite langouste. Il s’agit plutôt d’un fruit de mer à mi-chemin entre la crevette et le homard, sans doute mieux connu sous le nom italien de « scampi ».
À moins que vous n’habitiez dans un village côtier, il est très rare de trouver des langoustines fraîches encore vivantes, comme pour le homard. On l’achète soit sur un lit de glace, ce qui indique qu’elle n’a jamais été congelée, soit surgelée.
Si vous avez la chance d’en trouver sur un lit de glace, assurez-vous de choisir des spécimens qui ont une couleur rose ou orange très vive, sans tache brune ou grise sur la queue. Les yeux doivent être brillants et les pattes doivent se “tenir”.
Méfiez-vous des odeurs d’ammoniaque, qui indiquent que la langoustine n’est plus très fraîche.
Vivante, on la conserve comme le homard, pas plus de 24 heures au frigo. Une fois blanchie, la langoustine peut se conserver enveloppée d’un linge humide, dans la partie la plus froide du réfrigérateur.
Congelée, la langoustine se conserve environ 1 mois. Au réfrigérateur, elle se conservera d’un à deux jours.
Comme nous consommons plus souvent la langoustine surgelée, elle est facile à trouver toute l’année. Cependant, elle est en saison d’avril à octobre. C’est durant cette période que vous aurez la chance d’en trouver sur lit de glace.
À l’aide de ciseaux ou d’un couteau bien aiguisé, faire une incision dans la carapace le long de la courbe extérieure, de la tête à la queue. Retirer la veine. La carapace de la langoustine peut être retirée avant ou après la cuisson.
Les langoustines ont une chair très délicate. Il est très important de ne pas trop les cuire. Utiliser des langoustines décongelées pour de meilleurs résultats. Puisque la langoustine a une carapace rose même lorsqu’elle est crue, il ne faut pas se fier à sa coloration externe pour vérifier la cuisson. Il faut plutôt se fier à sa chair blanchâtre et un peu translucide, lorsqu’elle est crue, qui devient d’un beau blanc opaque lorsqu’elle est cuite… Un peu comme pour le pétoncle.
1. Préchauffer le four à 200 °C.
2. Assaisonner les langoustines au choix.
3. Déposer les langoustines sur une lèchefrite légèrement huilée.
4. Calculer le temps de cuisson selon le tableau.
1. Préchauffer le barbecue à feu moyen-vif.
2. Assaisonner les langoustines au choix.
3. Étendre une feuille de papier d’aluminium double légèrement huilée sur la grille du barbecue et déposer les langoustines.
4. Calculer le temps de cuisson selon le tableau ci-dessous.
Traditionnelle : badigeonner les langoustines de beurre à l’ail et saupoudrer de chapelure.
Tendance : badigeonner 450 grammes de langoustines avec la préparation suivante : 10 ml 2 cuillères à thé de pâte de cari, 30 ml 2 cuillères à soupe de jus de citron et une gousse d’ail hachée finement. Garnir de basilic frais haché finement au moment de servir.
Calculer de 125 grammes à 175 grammes de langoustines non décortiquées par personne environ de 8 à 15 par personne selon la grosseur.
Faible en calories, la langoustine est riche en calcium, en phosphore et en fer, en plus d’être une excellente source de protéines.
Comme tous les crustacés, la langoustine est potentiellement allergénique. Prenez garde avant de l’introduire dans l’alimentation d’un enfant qui souffre déjà d’allergies alimentaires.
Une bien belle recette que je vous conseille, qui apporte un excellent souvenir gastronomique.
Appelé communément pieuvre et chatrou aux Antilles, le poulpe est un mollusque céphalopode. Le poulpe possède une tête munie d’un bec corné et huit tentacules portant chacune deux rangées de ventouses.
Certains préconisent la nécessité d’attendrir le poulpe dont la chair à tendance à être rendue coriace par la cuisson. Pour cela plusieurs méthodes originales mais dont l’efficacité n’a pas été prouvée :
Ajouter un bouchon de liège dans l’eau de cuisson
battre le poulpe avant la cuisson
placer le poulpe prêt à cuire dans un bain de daïkon (sorte de gros radis blanc) finement râpé et travailler avec les doigts (méthode japonaise).
Cuire le poulpe avec de la papaye verte. Cette astuce nous a gentiment été communiquée par Lydia de la Guadeloupe.
Personnellement je ne trouve pas cela nécessaire lorsque les poulpes sont de petites tailles.
Recette créé par le Chef Pierre Marchesseau pour l’Aqua à Saint -Tropez
L’avis du chef :
Cette recette peut aussi se faire avec de la langouste, langoustines, grosses gambas ou cigales de mer.
Un bon moment à partager à condition de savoir choisir son boucher…
Pour agrémenter cette belle viande, ajouter une pincée de persil plat finement ciselé.
Depuis juin 2017, les Japonais ont le droit d’exporter leur bœuf « wau » ou bœuf dit «de Kobe » en Europe. Et ils comptent bien imposer cette viande « haute couture » sur les tables européennes malgré son prix exorbitant. Mais cette viande exotique percera t’elle en France.
(photo : Lineaire.com)
Certains l’appellent « bœuf de Kobe », mais son nom originel c’est bœuf wau (littéralement « bœuf japonais ») car il n’y a pas que la région de Kobe qui en produit. Sa particularité : une viande très grasse marbrée de blanc très « persillée », qui fond dans la bouche, un peu comme du beurre, avec des touches de noix de coco et autres arômes végétaux.
Pour en arriver là, les éleveurs japonais nourrissent en partie cette ancienne race de trait avec de la paille de riz, « indispensable pour donner le persiller et blanchir le dépôt graisseux », selon la Wau japonaise besef.
On peut aussi leur donner en complément de la bière, ou des résidus de bière. Et les animaux, passé leur première année, ne pâturent plus : moins ils bougent, moins ils sont stressés, mieux c’est pour avoir une viande bien grasse.
Ils sont abattus entre 28 et 32 mois. C’est un peu plus que l’âge minimum d’abattage d’un bœuf en France (24 mois). Mais la légende selon laquelle ils sont massés au saké, bercés à la musique classique et nourris d’alcool de bonne facture, n’est qu’une belle histoire. « L’automatisation poussée de nos élevages nous laisse le temps de bien observer chaque vache », se contente de raconter un éleveur, Meiji Mizusako, à Paris lundi.
Yves-Marie Le Bourdonnec, boucher à Asnières (Hauts-de-Seine) et Paris, est lui très sceptique sur le mode d’élevage de ces animaux. « Je me suis rendu l’an dernier au Japon, et j’ai vu les conditions d’élevage. On parle de bêtes élevées dans des hangars comme des cochons en Bretagne et nourri avec du soja américain. La production est faible, environ 10.000 têtes par an pour une population de 100 millions d’habitants.»
Une imposante délégation d’exportateurs, éleveurs et représentants du gouvernement japonais, avait fait le déplacement dans la capitale française pour vanter les mérites de leur viande devant un parterre de bouchers, chefs et journalistes.
L’objectif était double : tenter de se faire une place sur les tables européennes, et imposer l’origine japonaise face aux concurrents australiens, américains ou même européens qui élèvent aussi des wau. Yves-Marie Le Bourdonne lui se fournit en Espagne par exemple.
Certains éleveurs ont même repris les techniques d’élevage japonaises, comme ce producteur français, qui dorlote des bœufs normands au cidre. L’intérêt de l’alcool est, dit-on, d’aider à répandre le gras de la viande dans le muscle, et d’en améliorer ainsi le persiller, c’est-à-dire le fondant. Olivier Metzger, boucher à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) et grossiste au MIN de Rungis (Val-de-Marne), vend du wau de Nouvelle-Zélande depuis dix ans. Mais il est croisé avec la race black Angus, précise-t-il. Là, pour le wau japonais, «il s’agit d’animaux pure souche et qui sont gavés le double pendant 800 jours ».
Depuis quelques mois, il est le premier boucher français à commercialiser cette viande auprès du grand public. Il en propose 250 kg par semaine. Prix de vente public : 300 euros le kg. « Il faut compter 100 grammes par personne, on la vend par couche très fine, à faire par exemple à la plancha ».
«C’est plus cher que du foie gras mais beaucoup moins que du caviar. Et il va falloir faire un gros effort pour faire connaître cette viande quasi inconnue du grand public en France », reconnaît Olivier Metzger.
Yves-Marie Le Bourdonne, boucher bohème qui a souvent fait parler de lui pour sa vision iconoclaste du métier, est moins enthousiaste. « Il n’y a rien de très excitant. Il va intéresser une clientèle d’amateurs de produits exotiques et quelques chefs japonais ou de tables étoilées. Le produit est adapté à la cuisine japonaise et à leur façon de travailler la viande. Mais on ne peut pas avoir de côte de bœuf dans ce type de viande, par exemple. Il n’est pas adapté à notre cuisine plus traditionnelle. Je ne crois pas trop à ce produit en France » explique le spécialiste.
L’organisation du commerce extérieur du Japon (Jethro) rêve, quant à elle, de multiplier par cinq les exportations d’ici 2020. En 2013, sur 350.000 tonnes produites au Japon, seules 900 avaient été vendues à l’étranger, dont 90% en Asie de l’Est, selon Masayuki Mura hashi, directeur du département agriculture du Jethro.
Il faut dire que jusqu’à présent les Japonais gardaient jalousement leur trésor et n’ont demandé les autorisations d’exportation que très récemment. « La Grande-Bretagne, l’Espagne, l’Allemagne et même l’Italie, pourtant plus conservatrice dans sa gastronomie, sont des cibles prioritaires » pour lui.
Le grand défi reste maintenant d’imposer le wau hors des restaurants japonais.
Voilà ce qu’en dit la presse parisienne et bien pour moi Pierre Marchesseau je ne suis pas d’accord. On sent ici les kermesses, les clochers et chacun prêche pour lui. J’ai bien connu la viande Kobe en Argentine et je l’ai travaillée, pratiquée, utilisée en maintes et maintes fois avec des résultats différents selon que je tenais compte du morceau et de ce que je voulais lui faire dire.
Le rôle du boucher, c’est de découper la viande et de la vendre dans ses boutiques, mais surtout qu’il ne vienne pas nous conseiller en cuisine.
Chacun chez soi les bœufs n’en seront que mieux garder pas plus que le cuisinier doit se mêler du travail du boucher.
Maintenant cuire de la viande est d’abord une éducation, un apprentissage dont nous reparlerons.
Pour commencer et faire court, savoir que si la bête est morte dans l’abattoir où elle passa de la vie à trépas, sa chaire elle reste vivante.
Elle se compose de molécules qui possèdent un système nerveux, une mémoire et une éducation.
Le rôle du cuisinier, qu’il soit professionnel ou amateur sera d’abord de respecter le morceau de viande qu’il aura choisi de cuire.
Il devra choisir son morceau en fonction du plat qu’il souhaite faire.
Il devra appliquer la recette jusque dans les moindres détails.
Cuire est un acte de chimie. La chimie a ses règles. Nous devons les connaître pour pouvoir les appliquer. On ne cuit pas de la même façon les pièces de boeuf alors que 3 types de cuissons peuvent s’adapter et s’utiliser. Cuissons qui s’adaptent aux nécessités de la viande de Kobé et la viande rouge seulement.
Le cuisinier doit respecter le phénomène de Maillard pour une viande dite rouge. Il doit jouer avec la cuisson, faire fondre le collagène sans jamais le brûler et au contraire laisser la viande prendre une belle couleur appétissante en lui appliquant la règle du 4 fois 20…
Le sang, une fois bloqué à l’intérieur de la matière cautérisée de toute part, le respect de la règle des 4 fois 20 apprise, la viande devra se reposer 15 à 20 minutes hors de la poêle pour que la chaleur se partage dans la pièce et que le sang se propage dans chaque veinule du morceau de viande.
Ce travail terminé, la cuisson du morceau de viande sera à terminer avec l’outil approprié à ce que l’on veut obtenir en final. Poêle, sautoir, cocotte, four etc.
L’important est de visé juste pour tirer la quintessence des possibilités de chacun qui est une partition que chacun connaît bien et utilise en fonction que le résultat nécessite.
Et là on reprend la viande certes mais on repart du début et du bon de salle qui devra indiquer les précisions indispensables.
Heures de prise de la commande, couleur de la viande dans l’assiette 4 possibilités, bleue, saignante, à point, bien cuite.
Le cuisinier saura les utiliser à bonne escient, sauce, pas sauce, légumes etc…servie dans une assiette toujours chaude, non découpée mais en pièce entière.
Ces conseils respectés votre viande servie sera parfaite et vos clients l’apprécieront. Je vais d’ailleurs approfondir dans des cours en direct sur Facebook les conseils que je ne donne pas là mais que chacun doit savoir.
Il en manque ici encore quelques-uns. Chaque conseil correspondra à chaque morceau qui lui-même dépendra du type de cuisson de sa catégorie et ne sera valable que pour le bœuf.
La vache sera différente, le veau également et quel veau, jeune bovin, veau, veau élevé sous la mère, veau blanc de Chalais et bien nous allons nous apprendre tout cela et les cours commenceront début 2019 pour ceux qui auront eu la précaution de s’inscrire.
Renseignements au 0666571518.
Boeuf Wagyu – Archibald Gourmet, bœuf de Kobe – Edélices
www.edelices.com/viandes-salaisons/boeuf-exception-wagyu-kobe.html
Vente en ligne de Bœuf Wagyu. Frais de port offerts à partir de 100 EUR. Livraison rapide et soignée. edelices.com, l’épicerie fine pour cuisiner avec talent.
A Paris on peut goûter cette viande dans beaucoup d’endroits mais une adresse à particulièrement retenu mon attention :
La voici : La meilleure façon de se rendre compte de la qualité de ces élevages c’est, de la tester.
Chez Joséphine
Table d’hôte d’Archibald Gourmet
Menu unique autour du WAGYU.
Nous allons en reparler par le détail dans les jours prochain et là chacun fera la différence.
La seule erreur, c’est qu’il a un goût de trop peu à chaque fois…
Une recette facile si on suit le pas à pas en photos de crème brûlée à la vanille qui permet de savoir la faire de façon différente, avec moins de crème..
Bonjour à toutes et à tous.
Vous avez été nombreux il y a quelques temps à me poser des questions sur le caviar et je ne vous avais pas fait une vraie réponse de fond. Ces quelques jours de repos forcé de la fin de semaine dernière, m’ont permis de ranger et de classer le contenu de mes 4 terras de stocks de documents. Je suis tombé par hasard sur un papier à faire que j’ai oublié.
Le voici donc et c’est un plaisir pour moi de l’écrire. Je vais le classer dans c’est mon choix, en produit de luxe.
Quelques règles à connaître pour savoir mieux distinguer les bons grains :
1. Les variétés, tu étudieras. Les précisions inscrites sur les boîtes de caviar (Osciètre, Béluga, Baéri…) correspondent aux différentes variétés d’esturgeons.
Trois sont sauvages : le Béluga, l’Osciètre et le Sévruga. Viennent ensuite les esturgeons d’élevage, comme le Baéri, élevé notamment en Aquitaine, ou l’Acipenser Transmontanus, d’origine américaine, élevé en Californie mais aussi en Italie.
2. Le caviar russe, tu oublieras. Depuis quelques années, il est presque impossible d’importer du caviar sauvage provenant de Russie, en raison de la raréfaction dramatique des esturgeons sauvages. Il faut également savoir que, pour 2014, seul le caviar Béluga du Danube est autorisé à la vente. Il n’y aura donc pas de Béluga de la Caspienne cette année
3. Aux apparences, tu ne te fieras pas. S’il est vrai qu’on achète avec l’oeil (les grains doivent bien se détacher, rester ronds, être brillants, ne pas s’écraser en huile), la couleur et la grosseur ne suffisent pas à désigner un bon caviar. Il existe une très large palette de couleurs (qui doivent être nettes), allant du gris clair au noir, en passant le doré ou le vert de gris. Elles n’influent pas du tout sur le goût, mais plutôt sur l’idée qu’on s’en fait.
4. Le caviar d’élevage, tu ne bouderas pas. La qualité du caviar d’élevage, issu de poissons d’eau douce, a fait un grand bond ces dernières années. Il y a encore 4-5 ans, on lui reprochait un arrière goût de vase et de fréquents problèmes d’oxydation. Aujourd’hui, on en trouve d’excellents en Europe, notamment en Aquitaine ou l’on élève la variété Baéri. L’Italie, l’Espagne, la Bulgarie se sont également lancées dans l’élevage. Les États-Unis, Israël et bientôt la Chine sont également dans la course.
5. Goûter avant d’acheter, tu tenteras. Difficile d’entrer tranquillement dans une boutique et de demander à ouvrir et goûter plusieurs boîtes, avant de se faire son choix. C’est pourtant ce qu’il faudrait faire, tant les goûts varient entre caviar sauvage et d’élevage, entre Béluga et Osciètre, entre telle ou telle provenance et même entre deux boîtes censées être identiques (conditionnées dans le même atelier, à partir d’une même variété et le même jour). Comme on ne peut pas toujours tester, il faut faire confiance aux bonnes maisons, qui re goutent, re sélectionnent et re conditionnent le meilleur de leurs achats.
6. L’air et la lumière, tu éviteras. Produits frais par excellence, les oeufs d’esturgeons s’oxydent facilement, donc supportent mal le contact avec l’air et la lumière. D’où l’importance d’acheter des boîtes parfaitement hermétiques et de consommer très rapidement le caviar après ouverture.
7. À la fraîcheur, tu veilleras. La qualité du caviar dépend aussi des conditions de conservation. Conditionnés en boîte hermétique le jour même de la pêche, les oeufs doivent être acheminés et conservés à -2°C. Pour la dégustation, en revanche, mieux vaut « chambrer » le caviar, entre 10 et 14°C pour apprécier pleinement sa structure et ses arômes.
8. La cuillère en métal, tu banniras comme sur la photo. Pour prélever délicatement les grains, la cuillère en nacre garde la faveur des connaisseurs parce qu’elle n’altère pas le goût des oeufs, contrairement aux cuillères en métal. Au pire, se rabattre sur une cuillère en bois ou en corne.
9. L’eau, tu préféreras. Lors d’une première dégustation, ou lorsque l’on goûte un caviar en magasin, mieux vaut rester à l’eau pour apprécier toutes ses subtilités gustatives. Ensuite, rien n’empêche de marier le caviar à une vodka délicate, un champagne vineux ou un grand bourgogne blanc.
10. Sur la quantité, tu ne complexeras pas. Compte tenu des prix de vente, acheter une boîte de 30 g n’est pas déshonorant, même si le vendeur vous assure qu’il faut 50 g pour se faire plaisir. Quelques grains de folie suffisent à l’ivresse.
Le caviar blanc tu oublieras.
D’abord, il est rare et le prix est exorbitant. Pour moi, il n’est pas bon et c’est un caviar de non amateur car les esturgeones pour des raisons encore ignorées sont malades et atteintes de dégénérescence. Elles sont devenues albinos. D’ailleurs les grains sont gros et tout le contraire en bouche d’un bon et grand caviar. En plus, il n’est jamais présenté dans une vraie et grande dégustation. C’est le caviar des bobos…
(photo de couverture : Philippe Asset)
Ne pas hésiter à parfumer le poulet rôti en le badigeonnant d’un mélange de moutarde et de thym. Avec les restes, il y a de quoi se régaler le dimanche soir ou le lundi avec une salade ou un sandwich club au poulet avec une pointe de mayonnaise maison.
C’est divin.