Sushi

Temari, c’est le nom d’un petit ballon japonais, que nous ne voyons plus beaucoup aujourd’hui. Les Japonais travaillent et forment souvent le riz comme on le ferait avec de la pâte à modeler. Le riz mis en forme est en effet l’équivalent des sandwichs pour les Japonais. D’ailleurs, on les mange souvent avec les doigts. Temari-zushi est donc un Sumeshi qui est un riz vinaigré pour le SUSHI qui sera travaillé en formes de petit ballon. Je présente trois variations de sushis, saumon, Nori, c’est une feuille d’algue et l’Umeboshi c’estune prune séchée. Mais il y a énormément d’autres possibilités. Essayez avec tout ce que vous voulez !

Maki-Sushi

Pour les Japonais, le Maki-zushi est par rapport au NIGIRI-ZUSHI, le vrai sushi. Cependant le rouler joliment demande un peu de technique. Comme le nom l’indique, le riz n’est pas du simple GOHAN. C’est un riz vinaigré et légèrement sucré. Quand on est vrai cuisinier, on prépare l’assaisonnement en mélangeant du vinaigre de riz, du sucre et du sel. Mais c’est assez compliqué car la quantité d’eau change lors de la cuisson du riz. Je vous propose de profiter d’un des produits d’assaisonnement tout fait, bon et surtout très simple : le SUSHINOKO. Ce dernier est en poudre mais il existe aussi en liquide : le SUSHIZU. Je ne l’ai pas encore essayé mais il paraît que c’est très bien aussi.

Tempura

Recette de : Tempura.
Le tempura : C’est le nom d’un assortiment de beignets dont la pâte est constituée d’un mélange de farine et d’oeuf, servi avec du radis blanc rapé et trempé dans de la sauce soja. La tempura n’est pas facile à préparer, au contraire ! C’est une des recettes demandant le plus d’expérience ou même de talent… c’est une des plus grandes recettes traditionnelles japonaises, et rien n’est particulièrement difficile à obtenir pour réaliser un super plat japonais à Paris! Kakiage : C’est un nom d’un beignet de TEMPURA, mélange de quelques légumes et de fruits de mer.

Okonomi Yaki ou pizza japonaise

Le Okonomi ou pizza japonaise, est un plat familial de l’ouest du Japon qui fait partie de leur culture et chaque famille possède sa propre recette.
Il y a plusieurs types de Okonomiyaki, type traditionnel d’Osaka, type Hiroshima, type Monja Tokyo. Le type traditionnel ressemble à une petite pizza. Le type Hiroshima est constitué de nouilles à la sauce marron
Les YAKISOBA sont une sorte de crêpe très fine qui les entoure.
Le type Monja n’a pas de forme, elle est écrasée et on la mange en mélangeant les ingrédients qui la compose… On le prépare généralement sur la table avec une plaque chauffante électrique ce qui créé une ambiance très sympathique. Nous allons essayer de la faire, avec une poêle pour l’instant! Ce n’est pas très compliqué.

Gyôza

Recette de : Gyôza.
Les japonais mangent les "GYÔZA", raviolis au porc, principalement dans les restaurants de RÂMEN comme ceux qui sont à Paris, ou alors ils les achètent surgelés. En effet, la préparation, bien qu’assez facile, est très longue : hacher tous les ingrédients, envelopper la farce avec une petite pâte ronde une par une… Cependant, les gyôza faits maison sont bien meilleurs qu’au retaurant. Avec ces raviolis japonais faciles même pour les débutants en cuisine japonaise, préparez une suprise pour votre famille ou vos invités !

Caviar d’aubergine

Recette de : Caviar d’aubergine.
Pour réussir son Caviar d’aubergine mieux vaut acheter l’aubergine quand elle est fraîche. Sa peau doit être bien tendue, ferme et brillante, sa chair serrée doit rester souple. Une trop grande mollesse de ce fruit sera caractéristique de son manque de fraîcheur. Il existe des aubergines de différentes couleurs qui peuvent donner également d’excellents caviars. Les couleurs de l’aubergine correspondent à leur espèce d’origine.

Pounti auvergnat

Cette spécialité auvergnate est l’exemple même du plat unique complet qui contient viande , légumes et fruits et mélange discrètement sel et sucre. Plat économique aussi qui permet d’utiliser des restes et, comme tel, se servait au repas du soir. Le pounti peut également accompagner une volaille rôtie. Veiller à relever l’assaisonnement.